Une belle cavalière
Datte: 27/04/2024,
Catégories:
fh,
essayage,
hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pied,
caresses,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
Auteur: Piewy, Source: Revebebe
... qui se contracta sous la caresse. Elle me demanda d’ouvrir la bouche et de sortir la langue… Hummm, j’allais pouvoir m’occuper de ses seins ! Mais non, ce fut un doigt parfumé et humide de son désir qui s’y échoua, je le léchai et le suçai avec délectation… Mon sexe durcit encore à l’annonce du plaisir auquel j’allais avoir droit.
Brigitte me demanda de me coucher sur le tapis devant le canapé, elle me laissa m’y glisser, puis reprit son ouvrage sur mon sexe. Tout à coup, sa langue entra en contact avec lui et ses lèvres se refermèrent sur mon gland. Il frémissait dans sa bouche alors que ses doigts caressaient mes testicules, j’avais du mal à me retenir. Elle le remarqua et m’abandonna brutalement. J’émis une protestation :
— Nonnnn, encore !
Mais rien n’y fit, je l’entendis bouger sans savoir ce qu’elle faisait. Elle me dit alors :
— Moi d’abord !
Et je la sentis qui descendait sur moi, les genoux autour de ma tête et ses lèvres qu’elle tenait écartées vinrent contre les miennes qui s’ouvrirent pour la boire. Ma langue s’insinua entre pour goûter à la source sa cyprine. Brigitte se pencha pour que j’atteigne son clitoris qui attendait sa part de douceurs.
Ma langue tourna autour et le fit bouger dans tous les sens. Les gémissements se firent de plus en plus forts, mais quand je le lui mordillais, c’était un cri de plaisir qui la faisait se cabrer sous l’onde qui la secouait. J’en profitai pour faire une feuille de rose(caresse que je sais qu’elle aime ...
... aussi) avant de revenir sur son sexe trempé.
— Je vais jouir ! me dit-elle.
Ma bouche s’ouvrit en grand pour sucer ses petites lèvres et ma langue stimula encore plus son clito. Un « ouiiiiiiiiiii » sortit de sa gorge pendant l’orgasme et je bus sa jouissance. J’étais trempé du nez au menton de son plaisir. Elle s’écroula sur moi, son souffle chaud et rapide sur mon sexe ne faisait qu’accentuer la raideur de celui-ci.
Après avoir repris chacun un peu notre souffle, elle empoigna mon sexe et me masturba doucement ; sa langue vint recueillir sur mon gland les gouttes de mon bonheur. La mienne, à son tour, se réactiva sur son petit bouton, mais elle me stoppa et me dit de ne pas bouger. Elle se leva, je la sentis se placer au-dessus de mon sexe qu’elle saisit à pleine main pour le mettre à la verticale et en contact avec ses lèvres humides. Elle fit glisser mon gland sur son clito, puis entre ses lèvres entrouvertes, mais sans que je pusse m’y enfoncer… une vraie torture pour moi… Sûrement pour elle aussi, car après quelques instants elle s’empala doucement.
Elle se pencha sur moi, nos bouches s’unirent et nos langues se cherchèrent, nos sexes toujours soudés l’un à l’autre. N’y tenant plus, j’empoignai ses fesses, Brigitte m’ôta le foulard et un grand sourire se trouva face à mes yeux qui virent de nouveau la lumière. Elle se redressa, à genoux sur moi. Elle prit mes mains, les posa sur ses seins et me dit :
— Caresse-les-moi et regarde-moi jouir !
Entre deux ...