Une Passion Inattendue Ch. 11
Datte: 27/04/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... regarde intensément, elle me connaît et se doute que cela ne va pas en rester là. D'une main je tire sur les pinces qui serrent les tétons (et avec les anneaux c'est encore plus douloureux), et avec l'autre je saisis ses couilles violacées à force d'être étirées. Elles sont dures, compactes, affreusement sensible. Mes ongles s'enfoncent progressivement, je vois son regard chavirer, son hurlement devenir rauque. Je les presse comme si je voulais les faire exploser, en fait j'aimerais, mais je ne pourrais plus jouer avec.
Quand enfin je le relâche, il tombe comme une poupée inanimée, tandis que le lit sous mes fesses est inondé, j'ai joui de cette torture épouvantable. Je me caresse pour faire durer l'orgasme, en reprenant cette fois-ci sur un ton plus extrême.
- Dieu merci tu n'es pas un vrai mâle, tu l'as bien senti en me demandant de te prendre comme esclave. Pas une femme non plus, ce serait tellement prétentieux! Tu es juste une femelle, et je me demande qu'est-ce que je vais faire de tes attributs mâle (je sens une inquiétude dans son regard)
- Oui ce serait très jouissif de te faire couper complètement, mais alors je ne pourrais plus te torturer, et surtout ton excitation permanente ne serait plus là, je crois que j'aurais beaucoup à perdre.
- Alors voilà, je me demande si je ne vais pas faire de toi un animal hybride, ni homme, ni femme. Tu serais très sexy avec une peau bien douce et une poitrine aussi grosse que possible. J'adorerais que tu puisse avoir ...
... la même que le mienne, il faut que je regarde comment faire cela. Et te mettre des hormones, pour te rendre plus douce, moins poilues, tu vois? Toute émotive. J'ai tellement envie de te faire ramper encore et encore.
Je prends un écrase couille, deux planches qui se serrent avec des vis, où je coince les deux testicules de ma femelle. Fiévreuse, je serre comme jamais, elles sont écrasées malgré la pression des poids dessus, ma femelle gémit d'une voix stridente. Je la regarde, je lui demande si elle m'offre encore deux tours de vis, les pupilles se dilatent, la tête fait oui. Comment pourrait il refuser. Les couilles sont écrasées, les planches se rejoignent, la douleur est sans doute atroce.
- Et toi ma Nala, à toi le tour.
- Je ne veux pas que tu arrêtes tout ton travail, tu es trop douée et je t'admire pour cela. Mais tu vas fortement le réduire en passant à ton compte, que tu bosses de la maison, à mes pieds et à ma disposition.
- Si Yara doit être encore et encore transformée, toi tu es simplement parfaite, je n'ai pas envie de plus te modifier. Ah et Yara portera le collier en permanence et je vais le sceller de façon définitive, ainsi il n'y aura plus lieu à discussion. Toi Nala, non, ce sera quand j'ai envie, comme j'ai envie, mais je souhaite que tu aies un peu d'activité, sentir que tu as encore une part de vie en dehors de notre cercle.
- Mais cela ne veut pas dire que je n'ai pas de projet.
- J'ai envie de faire de toi une salope. La pire des ...