1. Le mariage de Sidonie


    Datte: 25/04/2024, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... nimbée d’une étrange lumière. Seules les aréoles de ses seins ressortaient d'une couleur légèrement plus sombre. Leur pourpre s’accordait avec le doré de ses cheveux qui apparaissaient sous son voile.
    
    J’ai déjà vu des femmes nues. Les femmes de mon village sont pour la plupart torse nu, et j'ai moi-même deux jeunes femmes. Mais les seins de Sidonie étaient ronds et insolents. Ils ne tombaient pas comme ceux des femmes du village. N'importe quelle femme, dans notre village, aurait déjà porté et nourri plusieurs enfants à la vingtaine. Mais j’étais devant une femme qui avait atteint la maturité sans être déformée par la maternité.
    
    Elle a adroitement refermé la porte du couloir avec son pied, ce qui nous a isolés. Ses fins doigts blancs ont saisi mon organe viril et sombre, et ils ont commencé à le caresser doucement.
    
    « C'est encore plus énorme que je le pensais » a-t-elle chuchoté rêveusement.
    
    « Sidonie, tu le rends triomphant ! » ai-je répondu.
    
    Nous sommes restés étroitement enlacés. Sa peau si exquise en contact étroit avec ma peau brûlée par le soleil. Sa féminité contre ma virilité. Sa pâleur contre ma noirceur. Mon organe viril était dressé entre nous, pressé contre son bas-ventre, l'endroit où ses bébés viendraient.
    
    Les ancêtres peuvent nous voir lorsqu'un nouveau descendant est conçu. Je savais que le vieux Baba attendait avec impatience et satisfaction de voir ce qui allait se passer, et je savais que le méchant Joël Martin hurlait de douleur et de ...
    ... répulsion. Ces deux pensées m'ont rendu heureux.
    
    Mes doigts ont parcouru la douceur de son corps nu lorsque nous nous allongeâmes côte à côte sur le lit. Ses seins ronds étaient si fermes. Ses mamelons bruns se sont tendus sous mes caresses. Les mamelons de la dernière descendante de Joël Martin allaient bientôt nourrir un bébé mulâtre. Le fruit de la lignée du vieux Baba. J'ai fouillé son entrejambe, doigté entre ses lèvres charnues son vagin rose, l'endroit d'où cet enfant viendrait au monde. Elle devenait moite et pantelante sous mes attouchements.
    
    Enfin, elle a entraîné mon organe viril vers elle. Je me suis positionné sur elle et je l'ai enfoui à l'intérieur. Elle a émit un cri étouffé. Son vagin était serré, beaucoup plus serré que celui de mes propres femmes, même lors de leurs nuits de noces. Au début, je ne pouvais insérer que le gland à l'intérieur, mais à chaque poussée, j'entrais un peu plus profondément. La résistance de son corps pâle s'est effondrée, et il a accepté ce que son esprit avait déjà admis, la domination de ma virilité.
    
    Ses jambes étaient maintenant fermement verrouillées autour de mes hanches et elle gémissait à chaque mouvement. Mon organe viril était en elle, tout au fond d'elle. Les chairs moites de sa chatte étroite me pressaient de toutes parts. Je ne m'étais jamais sentie aussi stimulé sur toute la longueur de mon pénis. Je me sentais incapable de résister, de me retenir. Je savais que je ne pourrais pas durer longtemps.
    
    Bien sûr, je ...