1. Trim et Dana


    Datte: 24/04/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Queuedusexe, Source: Hds

    ... fonctionnait encore un peu. Est-ce que je voulais être sa femme ? C’était ça la réelle question. Malgré l’aspect rude de son visage, malgré la dureté du son naturel de sa voix, il y avait une vraie tendresse dans son regard. Il prendrait soin de moi, je le savais. Ma mère avait vu mon regard avant de partir. Elle m’avait souhaité amour et bonheur, les mots qu’une mère dit à sa fille lorsqu’elle la marie. Elle se doutait de ce que je voulais avant même que je le sache vraiment moi-même.
    
    - Je veux ce que tu veux Trim. Emmènes moi chez toi. Il n’y aura personne d’autre que toi… Si tu me fais la même promesse… Je ne connais pas toutes vos coutumes mais je ne partage pas non plus.
    
    Il a souri de toutes ses dents.
    
    - Tu acceptes de vivre avec moi, même si chez moi, c’est moins confortable que vos maisons.
    
    - Je me moque de ça.
    
    - Marché conclu.
    
    Taar m’a attiré à lui et on s’est embrassé pour la première fois. C’était tendre, passionné, parfait. Mon désir grandissait encore. Il avait un effet terrible sur mon corps mais si j’en croyais la bosse qui appuyait contre mon ventre, je n’étais pas la seule à ressentir du désir.
    
    Il m’a mis sur mon cheval et nous a guidé jusque chez lui.
    
    J’ai été surpris de voir la maison vide, totalement vide. Il m’a regardé en souriant.
    
    - Ce n’est pas ma maison… Ce n’est qu’un endroit où j’aime passer du temps par moments, chasser.
    
    - Mais… Où vis-tu ?
    
    - 2 jours de marche. Nous serons plus proche du château de ton père. Pas ...
    ... beaucoup mais un peu.
    
    Rapidement, on est reparti. Trim était aux petits soins pour moi. Sous ses airs rudes, il était doux. Sa mais se posait sur ma cuisse, dans le bas de mon dos. On a parlé pendant des heures. Il me faisait rire avec des anecdotes, m’apprenait des choses sur la nature. Sa vision de la nature était différente de celle des hommes. Les hommes pour la plupart, voient la nature comme étant faite pour les servir. Trim estime que nous faisons partie de la nature. A chaque pose, il me prenait dans ses bras et on s’embrassait, on se reposait. Mon désir grandissait.
    
    Chaque fois qu’il était près de moi, je voulais le toucher, le sentir, goûter sa peau. Ses baisers éveillaient tout mon corps et j’étais prête à me jeter sur lui, à arracher ses vêtements, et enfin, m’empaler sur lui. Mon sexe en était presque douloureux.
    
    Quand il était un peu plus loin de moi, ce n’était pas beaucoup mieux. J’observais sa démarche virile, la largeur de ses épaules et chaque muscle visible de ses bras. Ses fesses étaient délicieusement moulées dans son pantalon, sa taille était plus fine que le haut de son corps.
    
    Trim n’était pas mieux que moi car mon désir me rendait aguicheuse. Je voulais qu’il ait envie de moi. Et ça marchait. Plusieurs fois, j’ai cru arriver à lui faire lâcher prise. Je le voyais déjà arracher mes vêtements et me prendre sauvagement contre un arbre, me faire me soumettre à ses assauts. Et si j’en croyais la colonne qui gonflait parfois le long de sa cuisse, ...
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