1. Françoise la perverse.


    Datte: 22/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Trekkie, Source: Hds

    Ceci est un récit imaginé que je vais essayé de vous raconter.
    
    Je m'appelle Françoise et mon histoire se passe dans les années 80. J'avais 25 ans à cette époque et j'étais enseignante dans une école privée. Un poste que j'avais eu grâce au piston d'un vague cousin député du coin.
    
    Les cheveux tirés en chignon, des lunettes ( dont je n'avais nullement besoin), jupe jusqu'au chevilles, je passais pour très vertueuse et farouchement vierge aux yeux de tout le monde. J'éprouvais un plaisir pervers à donner de moi cette image parfaitement fausse.
    
    Tous ceux qui me connaissaient sous cet aspect auraient été très étonnés de la métamorphose le soir venu, alors que j'avais rejoint mon appartement de fonction. Car une fois débarrassée de mes oripeaux de parfaite grenouille de bénitier. C'était une autre Françoise provocante et lascive qui prenait vie !
    
    J’enfilais un fin déshabillé en dentelles noires et je m'installais devant mon magnéto. J'avais une collection de cassettes porno que je ne regardais jamais sans une trouble fébrile, car en fait la seule chose qui m'intéressait vraiment était mon plaisir sexuel. Les scènes érotiques des films me créaient toujours une excitation aussi forte qu'irrésistible.
    
    Je commençais par me caresser doucement la vulve tout en évitant de me toucher le clitoris. Quand les premières ondes de plaisir s'emparaient de mon ventre, j'étais prise de tremblements. Je stoppais ça en me tirant fortement sur les poils pubiens. Je restais alors ...
    ... inerte, me contentant de regarder les images sur l'écran du téléviseur.
    
    Puis je reprenais mon jeu, mais en m'interdisant toujours de jouir. Cela pouvait durer plus d'une heure. Je mouillais alors abondamment, et le goût très fort ainsi que l'odeur de mes secrétions intimes m'envahissaient au plus haut degré.
    
    C'est alors seulement que je sortais mon vibromasseur et m'occupais doucement de mon clitoris. Je ne devais jamais attendre longtemps pour que le premier orgasme explose, énorme. Mais cela était rarement libérateur à ce stade d'excitation. Je ne pouvais plus retarder le moment de la pénétration. Tremblante de la tête aux pieds, j'enfonçais mon vibromasseur entre les lèvres de mon sexe dégoulinant de mouille. Comme prise d'hystérie, je m'abandonnais à la jouissance la plus bestiale sans plus aucune retenue.
    
    Mais je n'étais vraiment et pleinement satisfaite que quand tous mes orifices étaient occupés. Alors je sortais une deuxième gode et je le l'enfonçais dans mon petit trou. Et là et là seulement, je me sentais d'être femme ... totalement et triomphalement femme ! À l'instar de ces vedettes du porno qui se donnent sans complexe à trois hommes à la fois. Mais pour moi, cela tenait de l'ordre du fantasme car dans la réalité je n'avais jamais osé le faire.
    
    Mais un matin au réveil, je me suis fais un pari complètement farfelu. ... Jouir toute une matinée au nez et à la barbe de tous mes collègues. Sans que ces culs bénis ne se rendent compte de rien. Je me suis mise en ...
«1234...14»