EPONA ch 10 - Histoires de Sexe

EPONA ch 10

CHAPITRE 10 LA Vente

La ville elle même était construite sur un colline surplombant le port;il n'y avait pas d'endroits spécifique pour recevoir autant d'esclave, on nous conduisit dans les souterrains d'une forteresse portant au cou une plaquette de cire avec le non de notre propriétaire actuel et notre non de simple chaines séparaient les groupes ,il faisait frais mais pas froid.

Des enfants pleuraient nous avions faim et soif mais rien n'étaient prévu car la vente ne devait durer que quelques heuresSur le chemin du bateau a cette prison j'avais croisé Métellus très anxieux il m'avait fait revêtir les vêtements que je portais le jour de ma capture (pour les Romains c'était très exotiques) et un autre homme le crâne rasé très blanc de peau il me remit une petite bourse bleu et s'enfuis j'ouvris la bourse elle contenait 12 boules 6 rouges et 6 bleu et une instruction les rouges pour féconder les bleus pour faire bander long et dur

il y avait la des marchands et de riches particuliers venus de toute la république pour se fournir en "bétail humain" même quelques célébrités comme Marcus Antonnius Octave le gouverneur de la province des marchands et artisans comme Rostopoulos (mari de Lucrétia) de gros entrepreneurs en tout genre

Le gouverneur avait fait installé des plate formes desservies par deux escaliers et sur l'arrières des piquets en chêne qui étaient reliés par des chaines pour y attacher ceux et celles qui devraient êtres fouettés

La vente commençât a ...

... la 8 é heure d'abord par les hommes de peines destinés au travaux lours mines carrières galèrespuis les femmes laides et sans talents pour les ateliers les pêcheries les abattoirsles hommes cultivés pour en faire des précepteurs etcles femmes douées pour la cuisine etc.

Enfin les femmes comme moi destinées a la décoration de la maison a aider les maîtres a s'habiller faire leur toilette mais surtout a être nues et disponibles pour tous leurs caprices et plaisirs sexuels

l'éloignement ne m'avait pas permis de connaitre le prix des autres femmesMétellus, les autres propriétaires et le représentant de l'armée s'étaient mis d'accord pour qu aucunes d'entre nous ne soient vendues moins de 3000 cesterges

le lot commençât par une Germaine encore plus blonde que moi mais très bien en chair muscléeil n'y avait que peu d'amateurs elle leur faisait peur ; Un Ibère monta sur l'estrade lui ouvrit la bouche pour inspecter ses dents puis ses pieds et en proposa 3100 sesterces personne ne surenchérit on détacha la femme et elle le suivitpuis se fût au tour d'une Juive qui pleurait sans qu'on lui fit aucun mal elle portait une toge grise ses cheveux étaient couverts et une partie du visage;un grossiste en poisson demanda si elle savait compter tout le monde rit mais elle réponditoui il offrit 3100 sesterces si elle montrait son visage, ainsi fut fait ,un autre 3200 pour examiner sa bouche, un Egyptien 3500 pour voir son dot et cul nu, Octave 4000 pour qu'elle soit fouettée 12 coups 6 ...