1. Le cocu décocufié


    Datte: 21/04/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ‌‌‌Je m'appelle Nicolas, j'ai 37 ans et je suis cocu. Eh oui, ça arrive ces choses là et même à beaucoup de gens, il n'y a rien là d'original, même pas de quoi écrire un texte ici. Il y a même des cocus qui se mettent en scène sur un internet en train de regarder leur femme se faire sauter par un pote, un black, n'importe qui. Je serais donc en droit de relativiser cette infortune passagère, ou pas.
    
    Mais ce qui me gonfle, c'est que ma femme, une latino, a dix ans de plus que moi, n'est pas spécialement un canon bien qu'elle dispose d'une paire de seins qui a longtemps fait mon bonheur dans les cravates de notaire, sans parler d'un tempérament volcanique au plumard, et un don pour la pipe exceptionnel, oui ce qui me gonfle, c'est qu'elle s'est fait sauter par un sexagénaire bedonnant, raciste, chauve, poilu, beauf intégral, un ex voisin que j'ai toujours détesté et, je le croyais, par ma femme aussi vu qu'il n'aime pas les étrangers. On pourrait croire que je me fais un film (d'horreur). Ben non car je les ai surpris en pleine action.
    
    C'était un après-midi, je rentrais du boulot plus tôt que prévu car le patron m'avait dit de récupérer des heures. A peine arrivé, j'entendis du bruit dans ma chambre. Je ne m'étais pas annoncé. D., ma compagne, à quatre pattes sur le plumard, échevelée, était prise en levrette par le gros imbécile, ses plantureux nichons balançant en cadence. Elle l'encourageait, "allez allez vas y j'aime ça continue" en remuant son vaste pétard que ...
    ... j'avais si souvent fendu de ma queue. Je m'attendais à tout sauf à ça. A la limite, le gars aurait été un mec de mon âge, ou plus jeune, j'aurais compris que D. ait eu envie de se faire sauter par lui. Le sexe, c'est vraiment son truc. J'ai même eu parfois eu du mal à fournir pour la satisfaire. Mais pas par ce type, non.
    
    Evidemment, une grosse scène à suivi. Elle m'a fait valoir des arguments bidons que je n'ose même pas répercuter ici, si ce n'est une dispute la veille qui ne justifiait pas ce cocufiage. Alors, je me suis barré. J'ai mis quelques affaires dans une valise et j'ai pris une chambre d'hôtel provisoire, pour réfléchir, dans une chaine bon marché. Où avais-je vraiment failli ? Avais-je vraiment comblé ses besoins sexuels ? Ne m'avait-elle pas déjà trompé sans que je le sache ? Tout se bousculait dans ma tête.
    
    Mais puisqu'il en était ainsi, la première des décisions était de lui rendre la pareille. Plus facile à dire qu'à faire. Les filles, aujourd'hui, vous font mariner pour être sûr que vous n'êtes pas un sale macho. Elles ne sont pas toutes comme D. qui est une vraie bête de sexe version féminine. J'ai payé ma chambre après avoir discuté avec la réceptionniste, une petite beurette d'à peine trente ans prénommée Sophia (vu son badge), plutôt mignonne, souriante, ça me changeait. Elle m'a dit que le bar était ouvert si je le voulais. Après avoir dîné de la pire pizza de ma vie dans la pizzeria du coin, j'y ai repensé plus tard en regardant à la télé dans ma ...
«1234...»