1. « Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (28) : Les Saturnales»


    Datte: 20/04/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... bras l’un de l’autre. Tullia embrasse son jeune amant.
    
    • Tu bandes à nouveau ! Tu as à nouveau envie ?
    
    • J’ai toujours envie de toi !
    
    • J’imagine la tête de ton père s’il savait que je pervertis son fils !
    
    • Je le déteste, surtout après ce qu’il a fait à ma mère Galla, exilée dans les iles Pontines, au nom de cette vielle loi d’Auguste, pourtant tombée en désuétude.
    
    • Je suis indirectement à l’origine de tout cela, tu sais.
    
    • Pas du tout. Ma mère a bien fait de tromper ce monstre. Il était horrible et brutal avec elle. J’aurais tant voulu qu’elle m’ait conçu avec un autre homme. Je suis fier d’être ton amant.
    
    • J’ai presque 10 ans de plus que toi. Tu dois t’intéresser aux jeunes filles de ton âge.
    
    • C’est toi que je veux !
    
    • Allons ! J’ai remarqué comment, l’autre jour, tu regardais Julia, la nièce de Fausta. Elle te plait, n’est-ce pas ?
    
    Lucius ne peut s’empêcher de rougir et répond, en baissant les yeux :
    
    • Tu lis en moi comme dans un livre, Domina ! Depuis ce jour-là, deux femmes occupent mes pensées : toi, que je ne pense qu’à baiser, elle dont je suis tombé amoureux. Je te choque ?
    
    Tullia éclate de rire :
    
    • Pas du tout ! C’est ce que je voulais entendre.
    
    • Mais je suis malheureux, car je sais par Martial que sa mère, la sœur de Fausta, veut lui faire épouser un riche Chevalier, Publius Antius Bibulus. Tu te rends compte, il a plus de 40 ans et c’est un alcoolique notoire ! Ce mariage m’est insupportable !
    
    • Fausta et moi nous ...
    ... vous aiderons, si tu aimes sincèrement Julia.
    
    • Je ferai tout pour elle, pour qu’elle soit à moi, pour empêcher ce mariage. Je l’aime. Je la veux !
    
    • Elle m’a dit qu’elle t’aime elle aussi. Votre rencontre a été un coup de foudre réciproque. Je ferai tout de mon côté pour favoriser votre amour. Je te ferai savoir rapidement ce que je propose.
    
    • Tullia, je veux Julia ! Je suis prêt à l’enlever, à m’enfuir avec elle pour empêcher ce mariage
    
    • Ce serait une folie. Vous seriez pourchassés, vous seriez des proscrits. Ce que j’envisage est que vous deveniez amants. Tu seras pour Julia ce que Vettius Valens a été pour moi.
    
    • Tu m’as raconté que Valens acceptait de te partager avec d’autres.
    
    • J’ai la conviction que Julia est comme moi ou comme ta mère Galla. Nous ne pouvons nous contenter d’un seul homme. Le comprendre et l’accepter ce sera lui donner la plus belle preuve d’amour.
    
    • Je lui donnerai cette preuve d’amour. Tu me guideras, Tullia. Je m’en remets à toi. Notre bonheur est entre tes mains.
    
    ***
    
    Pour parvenir à ses fins, Tullia a besoin du soutien de Fausta, chez qui vit sa nièce Julia. Tullia va rapidement balayer les scrupules de son amie :
    
    • En favorisant les amours de Julia et de Lucius, tu me pousses à tromper la confiance de ma sœur !
    
    • Et alors : n’a-t-elle pas trompé ta confiance par le scandale qu’elle a créée après la nuit de la « Bona Dea » ? Imagine ce qui se serait passé sans la protection d’Agrippine et de Sénèque ? La mère de ...
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