Le mâle olfactif
Datte: 17/04/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: InFeetWeTrust, Source: Hds
... mélange d'urines de parfaits inconnus, le tout accompagné de coups de grosse teub jusqu'au fond de ma boite à foutre, commence à me faire gémir sans retenue. Je me fous de savoir si je vais alerter les voisins. Mieux, ça m'exciterai que ça soit le cas et de me faire mater dans ces conditions les plus vicieuses.
Je lui hurle « merci Monsieur » tant bien que mal avec sa main qui me compresse sur le sol humide.
Les allers et venues dans mon cul s'accélère au rythme grandissant des sons bestiaux émanant de ma bouche. Il se retire et arrache la capote d'un coup en me tirant par le col du t-shirt pour me ramener au niveau de son sexe. Il s'enfonce dans ma bouche et, avant même d'avoir atteint ma glotte, me déverse un torrent de foutre chaud, épais et délicieusement salé.
Commençant à m'habituer au niveau de vice de ce beau mâle, je prend sur moi de ne pas avaler tout de suite, en gardant la bouche assez entrouverte pour que son précieux nectar lui soit visible.
«Ahaha c'est bien, t'es vraiment une super chienne, tu peux avaler maintenant et je te conseil de sourire une fois que c'est fait si tu ne veux pas en reprendre une !».
Je soutiens son regard de vieux pervers en avalant tout d'une grande et unique lampée pendant qu'il frotte sa queue, déjà en train de ramollir, sur mes joues pour essuyer les derniers gouttes de jus.
Il me dit, juste après me cracher dessus, « Regarde toi putain, tu avais déjà une gueule de pissotière et maintenant tu en portes l'odeur... ...
... Demande moi d'en devenir une vraie !».
«S'il vous plaît Monsieur, pourriez vous me faire l'honneur de m'offrir votre pisse s'il vous plaît ?».
J'ouvre la bouche en grand et il pose son gland humide sur ma lèvre inférieure. Je le vois se concentrer mais, à part une gouttelette par-ci par-là, rien ne se passe. Il fini par lever la tête vers le ciel ensoleillé, comme pour ne pas être distrait par mes yeux de truie affamée qui sait qu'on va la nourrir. Quelques secondes se passent puis les gouttelettes se transforme en source, puis en jet.
Sa pisse est encore plus corsée que son jus. Je reconnais le goût de l'urine des gros buveurs de café. J'aime quand ça n'est pas trop facile à boire. L'image que cela me renvoie de ma condition n'en est que plus excitante. Une grosse pute prête à tout pour se sentir souillée.
Comme si une idée fulgurante lui traversait la tête dans l'immédiat, il stoppe l'arrosage, recule d'un pas et se met à repisser sur ma gueule et mon t-shirt.
J'en ai partout, c'est chaud et collant comme j'aime.
Une fois qu'il a fini, il me colle sa bite dans la bouche pour que j'en absorbe les dernières gouttes avant de commencer à se rhabiller. En finissant de se reboutonner il me dit, sur un ton tout ce qu'il y a de plus sérieux, « Et bah, on peut dire que t'es un vorace toi. Je pense que t'en as au moins pour une petite demi heure à sécher ici avant de pouvoir te barrer discrètement. Du coup, j'ai envie de te tester. Je vais faire un tour et si dans une ...