1. Initiation à deux hommes


    Datte: 16/04/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Omarrrr, Source: Hds

    ... Suce ! Oui… Comme ça ! Suce-la !
    
    Sa langue mena un bal de caresses circulaires. Son partenaire, les yeux clos, la tête rejetée en arrière, soufflait, lâchait de petits gémissements. Elle accéléra encore le mouvement lorsqu’elle sentit Michel introduire deux doigts dans son sexe et un doigt dans son anus, auxquels il imprima un mouvement de piston de plus en plus rapide. Sa tête se plaça entre ses cuisses largement ouvertes et il lui prodigua les délices d’une savante minette. Son plaisir monta par vagues, la fit se cabrer, se débattre.
    
    Les deux hommes resserrèrent leur étreinte, ajoutant à son plaisir celui de la soumission. Elle poussa un cri, en mouillant comme une fontaine, puis un second, provoqué par l’explosion soudaine de l’orgasme. Son corps fut pris de tremblements et se tétanisa. Son vagin et son anus, saisis de courtes contractions, se refermaient comme des étaux sur les doigts de Michel. Elle se raidit, s’arquebouta à l’extrême.
    
    Les deux hommes la maintenaient fermement et la langue de Michel continua à lui lécher le clitoris durant tout l’orgasme jusqu’à ce qu’enfin, elle s’effondre comme une poupée de chiffon, vaincue par l’explosion du plaisir.
    
    Michel et Claude relâchèrent leur emprise.
    
    Sara recouvra ses esprits, une idée fulgura dans sa tête. Elle lâcha le membre de Claude et roula sur le côté.
    
    « Si ces machos veulent me baiser, il faudra qu’ils le méritent ! Je ne vais pas leur faciliter la tâche ! Et puis, ce sera bien plus excitant comme ...
    ... ça ! »
    
    Avant qu’ils n’aient pu réagir, elle bondit du lit en éclatant de rire et se rua vers la salle de bain.
    
    Un vieux rêve remontait à la surface : échapper le plus longtemps au mâle, lui opposer le maximum de résistance pour le rendre fou de désir. Pousser ces deux étalons à la poursuivre, tâcher de l’attraper, la dompter, avant de pouvoir la baiser. Une manière de viol provoqué et consenti.
    
    Elle se souvenait avoir toujours été impressionnée par le récit de Cécile, l’une de ses meilleures amies, qui avait été bousculée, c’est le moins qu’on puisse dire, par son beau-frère.
    
    Sara avait compati mais fut abasourdie d’entendre Cécile lui avouer ensuite, la voix chargée d’émotion, avoir au préalable nargué le malheureux et que, passé le premier effroi, elle n’avait jamais autant joui. Le plus surprenant fut que Cécile ne retrouva pas cette intensité dans un rapport sexuel ultérieur convenu, celui-ci, avec son beau-frère.
    
    La chance ne sourit pas à Sara. D’abord parce que la porte de la salle de bain ne s’ouvrit pas, ensuite parce que Claude, dans son dos, avait réagi avec une vivacité incroyable. Ses bras se refermaient déjà sur elle lorsqu’elle parvint enfin à saisir la clenche : trop tard ! Elle se débattit. Michel rejoignit Claude.
    
    — Tu veux jouer avec nous, Sara, lui murmura-t-il de sa voix profonde.
    
    — Vous n’êtes que des animaux lubriques, vous ne m’aurez pas…
    
    Elle les défia du regard.
    
    — Sara, tu sais très bien que si…
    
    Michel la prit contre lui. ...
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