Fleur et le jeu d'argent
Datte: 16/04/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
asie,
cadeau,
inconnu,
prost,
telnet,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
coprolalie,
jeu,
init,
confession,
tarifé,
Auteur: The Lounge Lizard, Source: Revebebe
... tout cas c’est ce que je voulais croire. Et, très lentement, elle a glissé un, puis deux doigts dans cette fente, qu’elle a ouvert, pour bien me montrer, cette fente qu’elle a écartée et dont j’ai pu voir qu’elle était tout humide, et elle s’est caressée doucement, et elle a écarté ses cuisses très légèrement et cambré son bassin, pour que je devine mieux l’entrée de son con qu’elle doigtait pour moi.
À ce moment-là je crois qu’il n’aurait pas fallu grand-chose pour que je jouisse dans mon pantalon. J’étais fasciné par son impudeur et sa perversité. Ma langue palpitait dans ma bouche, pour la lécher, et ma queue dans mon pantalon pour la baiser. La vue de son sexe, sa posture cambrée en avant, avec les seins encore partiellement apparents mais que je savais nus, la culotte et le collant à peine baissés, et elle qui ne me regardait plus, mais qui regardait ses doigts aller et venir doucement, manifestement profondément excitée à son tour de se donner ainsi en spectacle et de capter mon désir, j’étais en transe. Sans un mot, j’approchais ma main, mais elle me repoussa. Ses yeux noirs se plantèrent sévèrement dans les miens.
— Non non non, coquin… ça t’excite ? C’est ça ? Ça t’excite de me voir ?
Dans un souffle, je murmurai un « Oui » plein de désir, et je lui demandai, cherchant son regard :
— Tu veux combien, pour me laisser te lécher, te toucher ?
Et soudainement, elle s’écria, comme scandalisée :
— Me toucher et me lécher ? C’est cher ! C’est mon intimité ...
... ! Combien es-tu prêt à donner ?
Et je dis…
— 40 ?
Et elle dit…
— 40 ? C’est tout ? Non, 60 !
Et je dis :
— Oui, d’accord, mais alors moi aussi j’ai le droit de me caresser en même temps que je te touche… et elle dit :
— Bon, d’accord, si tu veux, mais donne-moi 60…
J’obtempérai sur le champ. Et en même temps que je commençais de caresser très délicatement entre ses cuisses, de remonter jusqu’à son entrejambe, d’effleurer la fente humide qu’elle ouvrait à nouveau pour moi, je libérai enfin de mon pantalon ma queue durcie, gonflée de désir. Et, la touchant ainsi, je pus faire entrer un, puis deux doigts en elle, tandis que mon pouce faisait rouler son clitoris gonflé. J’approchai ma bouche et je humai le parfum de sa mouille et, avant de plonger mon visage contre son sexe, je captai son regard sur ma queue, que j’avais sortie et que je branlais lentement, mais fermement, la serrant fort dans mon poing pour en faire rougir et gonfler le gland.
À partir de là, il ne fut plus question d’argent. Elle avait envie de jouir, moi aussi. Je la fis asseoir sur mes genoux, un peu brusquement… elle se laissait faire, enivrée de désir qu’elle était. Elle baissa précipitamment et confusément sa culotte et son collant jusqu’à ses chevilles et, tandis, que je l’embrassais à nouveau de toute la force de ma langue assoiffée, elle ouvrit largement les cuisses pour m’offrir toute son intimité. De mes doigts, je la pénétrai fermement, délicatement, profondément. Elle se mit ...