Sortir de la routine (3) - Histoires de Sexe

Sortir de la routine (3)

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A la suite de notre soirée torride, la semaine se passa presque normalement. Hormis la nécessité pour moi d’envoyer deux ou trois fois par jour une photo à ma femme Florence, le pantalon baissé dans les toilettes des femmes, avec ma culotte de femme du jour.

Et invariablement, mon sexe était dressé, mon esprit en attente de ce sms me réclamant la photo, malgré la peur de me faire surprendre… Florence m’avait acheté 4 ou 5 culottes en dentelle, soie et coton de femme. Le contact, l’idée d’avoir des dessous féminin et surtout le fait que le sexe et le désir était de nouveau entre nous faisait que j’étais dans un état d’excitation quasi permanent…- Ding - Sms de Florence - A chaque photo tu bandes ! C’est normal ou tu es un pervers ?

- la situation m’excite trop c’est pour cela. Je ne pense qu’a ce que l’on fait et ce que l’on pourrais faire…- Moi aussi me répond-t’elle. Depuis, je me connecte sur des sites, je me documente sur la domination féminine, sur les pratiques… Et cela me déconcentre aussi. Ma petite culotte est constamment humide !!! Je ne me reconnais plus.

Malgré moi je souris, mon désir augmente encore.

- Oui comme moi. Ce qui me plais le plus c’est que tu t’y intéresses enfin. Quoique tu me fasses, le fait que tu penses sexe, que tu t’occupes de moi et que cela te plaise et t’émoustille.

- T’émoustille !!!! Tu te fous de moi ! Je suis excitée comme une petite chienne ...

... aussi, je réfléchis à ce que je fais te faire, à comment tu vas me satisfaire et me faire jouir. Mes seins sont dures comme de la pierre, mes tétons pointent les 3/4 de la journée au boulot.

- Ah bon ??? Génial ! En ce moment aussi ?

- Ouiiiiiiiii Ta dernière photo, bandé dans cette dentelle blanche avec ton gland qui dépasse me fait couler la fente…- Envoie moi une photo aussi alors !

15 secondes plus tard, Florence envoie ses deux doigts qui trifouillent dans sa culotte. Surprise, elle a un superbe tanga en dentelle aussi, rouge, super chic alors qu’habituellement elle porte des culottes simples en coton

- Ding - Ne te touche pas, ne te branle pas ! Seule moi ai le droit de jouir cet après-midi ! On discute ce soir !

Ma queue me fait mal tellement je bande. Tellement je suis excité, en attente et en demande de ce qui va se passer. A tel point que ma collègue Stéphanie me demande si je suis souffrant ?

Non, non tout va très bien au contraire lui souris-je.

Le soir, arrivé en premier ma femme m’appelle : j’arrive - attends-moi dans la chaufferie.

Je passe un survêtement rapidement et descend au sous-sol, dans le flou le plus total. Elle rentre et ferme la porte derrière elle, ou elle s’adosse.

- Viens, embrasse moi ! Prends-moi les seins !

J’obéis, nos lèvres se soudent. Sa langue me fouille sauvagement la bouche tandis que mes mains pétrissent ses seins.

- Continue, continue, mes tétons sont en feu. Viens, occupe toi de moi.

Mes lèvres ...