1. Rage de dents


    Datte: 12/07/2019, Catégories: Mature, BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: sensualites, Source: xHamster

    C’était la deuxième fois que je venais… Je n’étais guère rassuré d’avoir ainsi à changer de dentiste, mais celui auquel j’étais jusqu’ici habitué venait de déménager. La fois précédente j’avais accompagné une de mes nièces pour un soin sans importance.
    
    J’avais été intrigué par la femme qui nous avait accueilli dans son cabinet. D’une cinquantaine d’années, elle aurait pu être ma mère. Elle était grande, et sa stature était encore relevée par le port de bottes à talons que je trouvais presque insolite dans l’exercice de sa profession. Très «classe» par ailleurs, la beauté première que je perçus en elle ne relevait pas de son visage, mais plutôt d’une certaine stature, de l’assurance apparente d’une femme qui semblait en imposer par une sorte d’autorité naturelle.
    
    Cette prestance retint mon attention et me plaçait curieusement dans une situation d’infériorité qui n’avait rien à voir avec la peur traditionnelle du dentiste puisqu’ alors je ne savais pas que j’allais à mon tour un peu plus tard livrer ma dentition à ses soins.
    
    Ce rapport de force troublant ne signifiait pas une quelconque distance, voir froideur à mon égard. Très souriante tout en prodiguant ses soins à ma nièce, elle se tournait régulièrement vers moi m’expliquant dans les moindres détails les résultats de son intervention. Ainsi elle faisait pivoter son siège et j’avoue que j’avais quelque mal à soutenir son regard, mes yeux étant irrésistiblement attirés par ses superbes cuisses recouvertes d’un fin ...
    ... voile de soie noire qui glissaient l’une sur l’autre et se découvraient largement entre les pans de sa blouse.
    
    Je ne pensais pas revenir aussi rapidement pour me faire soigner les dents, mais il ne m’avais pas échappé en prenant mon rendez-vous à la suite d’une rage de dents que c’était bien la première fois malgré l’appréhension qui m’avait si longtemps fait reculer l’échéance que j’avais une certaine impatience à retourner chez le dentiste.
    
    Elle m’accueillit toujours aussi aimablement. Je respirais goulûment son parfum capiteux en la suivant jusqu’à son cabinet… Elle était presque aussi grande que moi, une fois encore portant des bottes sombres qui moulaient le galbe de ses mollets musclés. Elle me fit bientôt m’allonger et j’eu la satisfaction immédiate d’emplir mes narines de son effluve où je distinguait malgré la puissance de son parfum (elle venait sans aucun doute à l’instant de s’en imprégner) un soupçon d’acidité un peu âcre trahissant une sueur toute féminine…
    
    Après les questions d’usage sur le pourquoi de ma visite elle en vint à l’introspection de ma bouche. Elle accompagnait ses gestes à la fois fermes et délicats d’appréciations qui se voulaient rassurantes sans me dissimuler la nécessité d’interventions un peu lourdes ( dévitalisation, couronne… ). Par instants, je croisais son regard clair et chaleureux à la fois, comme si elle voulait s’excuser d’éveiller en moi quelque crainte.
    
    Sa voix était en accord avec tout ce qui se dégageait de sa personne ...
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