1. Mes frères, ma belle-mère et son neveu. 7. Orgie d’une famille recomposée.


    Datte: 14/04/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... insoutenable.
    
    -Donne-moi le gode Rose ! M’ordonne-t-il.
    
    Obéissante, j’obtempère et peux enfin récupérer de cette jouissance sans fin. Jules s'est retiré complètement de la chatte de sa tante pour y plonger l'objet vibrant. Il la travaille un moment avec l'instrument la faisant elle aussi vibrer sous l'appareil en fonctionnement. Mais pour lui ce n'est pas encore suffisant et son gland puissant vient peser sur la fente déjà occupée. Jeanne regimbe un peu pour le principe mais ne peut s’opposer à ce qui l’attend. D'une poussée monstrueuse, Jules boute les chairs et introduit son braquemard dans la chatte hyper dilatée par les deux intrus. Les vibrations du gode qui frotte sur la verge de Jules doivent lui être pratiquement insupportables et il s'active comme un damné dans le conduit extrêmement dilaté comme si la rapidité de ses coups de reins pouvait diminuer les sensations que transmet l’instrument vibrant. Mais il ne peut plus résister et je vois ses boules remonter dans leur sac pour se coller de chaque côté de la hampe massive, annonciatrices de son éjaculation imminente.
    
    Dans un grognement de bête fauve, il se retire de son propre piège et son chibre comme doté d'une vie propre monte est baisse sur les fesses de Jeanne. Quand la contraction fait remonter la bête à son apogée, des jets de foutre d'une extrême violence s'envolent dans les airs avant de retomber. Les premiers sont si violents qu’ils crépissent d'une semence surabondante le corps de Jeanne du ...
    ... creux des reins jusque dans ses cheveux et même au-delà. J'aurais dû prévoir une serpillière pour nettoyer le sol après un tel exploit. Bien que maintenant avec son traitement, le flot ininterrompu est beaucoup moins important que lors de notre première expérience, la dose reste cependant monstrueuse. Je subodore que la vibration du gode y est pour quelque chose.
    
    Après un tel exploit, la bête est fatiguée et vient se réfugier lentement en se décongestionnant sur les sacs à semence largement vidées. Je dois aider Jeanne à se relever après lui avoir retiré l'organe de torture de son sexe et je l'accompagne sous la douche pour la nettoyer de l'énorme couche de crème qui zèbre son dos et goutte sur le sol, laissant une trace très facilement reconnaissable sur le carrelage.
    
    Plus tard, j’ai une discussion avec mes frères :
    
    -Nous avons dévergondé Jeanne puis son neveu. Il faut se méfier de l’eau qui dort. Le petit ruisseau de montagne s’est transformé comme les pluies Cévenoles en énorme torrent indomptable et même les gorges profondes de jeanne ne peuvent endiguer un tel débit.
    
    -Tu a raison sœurette, approuve Paul, heureusement que nous sommes là pour lui dégorger le poireau avant la catastrophe.
    
    -Ça tu peux le dire, surenchérit Stan, mais je terme est inexact, je parlerais plutôt de concombre…
    
    Nous nous regardons et éclatons de rire. Nous sommes trois petits vicieux et je dois dire que ce défi nous convient à tous les trois. Il faudra longtemps avant que nous nous ...