La petite chienne de Maîtresse P. 17 - Histoires de Sexe

La petite chienne de Maîtresse P. 17

... même beaucoup apprécier d'être ainsi dévergondée, débauchée, dégradée et avilie jusqu'au plus profonds de ses tripes.

-Joli programme, demande-moi donc tout ce dont tu auras besoin pour qu'on puisse l'utiliser, ce sera avec plaisir.

-Je pense qu'il me faudra un de tes jougs.

-Pas de problème, ce soir en bas tu n'auras qu'à en réserver un.

-En attendant Igor, pour la faire connaître par tout le monde, je te propose de la mettre au service. Elle pourrait circuler entre les convives avec une bouteille de Champagne et remplir les verres. Il faudrait aussi que les gens sachent qu'ils peuvent déjà la tripoter lorsqu'elle passe vers eux.

Igor appela un serveur qui devait gérer le service et lui donna des instructions. Moi j'écoutais ce qu'on disait. La manière dont on parlait de moi, comme d'un vulgaire objet à qui l'on promettait une soirée de tous les excès, cette discussion déclenchait invariablement ce mélange de peur dans le ventre, paradoxalement tellement bienfaisante avec cette incroyable excitation masochiste en même temps. A la moindre évocation sexuelle, au moindre attouchement, ma bite gonflait et devenait dure comme un roc, raide, appuyée contre mon ventre, attachée à la chaine du nombril, qui s'était complètement détendue. Mon cœur battait la chamade et la chaleur montait dans ma tête, sans doute l'effet de trop de cialis, mais dans le fonds j'attendais avec impatience de vivre ce qu'on m'annonçait indirectement, tout en sachant que tout ne serait ...

... probablement pas une partie de bien-être, mais que mes plaisirs de soumise seraient au rendez-vous. Le serveur s'approcha de moi et me dit :

-Viens suis-moi.

Il se dirigea vers la table faisant office de bar, me donna une bouteille de champagne.

-Tu vas passer vers les invités et leur demander poliment s'ils souhaitent compléter leur verre.

Puis je vis Igor se rapprocher de quelques couples, pour leur passer le message de ne pas se gêner de me tripoter, sachant que dès que d'autres verraient des mains baladeuses glisser sous ma jupe ou tripoter vicieusement ma poitrine, ils ne se gêneraient plus de faire de même. Je vis aussi que Maîtresse s'arrêtait vers de nombreux couples pour les saluer et qu'elle parlait visiblement beaucoup de moi. Cela n'a pas manqué, dès que je m'approchais d'une personne ou d'un couple pour leur proposer du champagne, j'avais droit à un commentaire salace, avec une main qui glissait sous ma jupe et caressai mes fesses, tripotait mes couilles, si ce n'était pas une petite tapette. Il faut dire que ma laisse, qui pendait sur le côté, ne laissait guère planer de doute sur mon statut. Je n'étais déjà qu'un simple objet de plaisir pour eux tous.

Sur les 20 :00, Igor convia les invités à rentrer et se rendre dans la grande salle pour le dîner. La salle était très grande, avec une très longue table, magnifiquement arrangée posée au milieu de la salle. Il y avait une vingtaine de couples qui prirent place, 10 de chaque côté. Les femmes exhibaient ...