Le cordonnier
Datte: 12/04/2024,
Catégories:
f,
cérébral,
Humour
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... moi. Pour l’instant, il semble hypnotisé par ma cheville et ses doigts ne cessent plus de caresser mon pied. Comme s’il caressait une chaussure pour vérifier l’état du cuir. Une déformation professionnelle ? Si c’est ça, il va le prendre mon pied l’apprenti. Dans le cul qu’il va le prendre.
— Oui bien sûr. Quelque chose qui ne va pas ?
Ah ! Tout de même ! Cette fois, il ne peut plus ignorer ce que je montre. Il n’a jeté qu’un rapide coup d’œil sous ma robe et s’est attardé brièvement sur ma chatte découverte.
— On peut dire ça oui… Depuis le temps que tu me tripotes… Comment te dire… Je n’ai rien d’une nymphomane, mais on va dire que c’est mon corps qui parle… C’est juste une image quoi. Tu peux comprendre que ces attouchements… Ne me laissent pas indifférente. Alors… Je ne tiens pas à salir ma robe…
Si mes joues sont brûlantes, le visage de Titouan est celui d’un jeune type ayant accompli un terrible effort physique. Le front nimbé de sueur, les yeux hagards, les narines pincées, et la bouche ouverte, pour aspirer le plus d’air possible.
— Je… C’est…
— Ça te dérange ? Si je te gêne, il suffit de le dire… Tant pis pour ma robe…
Ma chatte s’est légèrement ouverte. Un peu comme si elle aussi, voulait s’exprimer. Maintenant, je ne suis plus humide. Je me sens couler doucement. L’image de ma fente lisse et mouillée, hante aussitôt mon esprit. Comme j’imagine mon clitoris dégagé de son capuchon. Il est d’ailleurs souvent de sortie ce petit con. C’est à croire ...
... que son abri est trop exigu pour lui. Mon clitoris est mon plus gros complexe. Car il est gros, justement. Un bon centimètre d’organe exacerbé, qui doit se dresser insolemment en ce moment même. La taille de l’ongle de mon auriculaire. J’en ai eu honte très longtemps. Et puis, j’ai rencontré Juliette. Elle en a fait des tonnes. Se moquant gentiment de mon complexe. Se fichant de moi, tout en suçant ce qu’elle comparait à un bigorneau sous capuchon. Plaisantant sur mon gros bouton dur, m’assurant qu’elle risquait de s’étouffer en l’aspirant de ses lèvres. Et finalement, avouant qu’elle me l’enviait, dans son excitation à jouer avec lui.
— Non ! C’est juste… C’est… Vous pouvez rester comme ça. Si c’est… Si vous voulez… Bien sûr…
Les doigts de Titouan se sont crispés sur ma cheville tout le temps qu’il s’est exprimé. Si s’exprimer est le bon terme à utiliser.
— C’est cool alors. Le mieux serait que j’enlève ma robe. Je veux dire… Que je me mette nue… Cette situation me donne chaud tu vois… Je vais la tremper cette petite robe. C’est déjà un peu fait d’ailleurs… Enfin, tu vois ce que je veux dire… Là surtout !
Tout en parlant, j’ai désigné mon aisselle gauche du doigt. Une large auréole assombrit déjà le tissu clair. Le coton gris est imbibé de sueur.
— Oui… Je… je vois… Vous pouvez… C’est comme vous voulez…
Il est adorable ce Titouan ! Vraiment adorable ! Il m’excite beaucoup en fait. C’est surtout sa timidité qui me fait craquer.
— Tu me sauves de la débâcle… ...