1. INITIATION PERVERSE 2ème patie


    Datte: 11/04/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Claudy2316, Source: Hds

    ... des attouchements plus précis que, loin de repousser, je m'évertuai à provoquer. Chaque fois, nous nous arrangions pour nous trouver seuls, ne serait ce qu'un instant. Moi je voulais l'embrasser, qu'il me serre dans ses bras, lui ne pensais qu'à me "tripoter" où à frotter contre moi son sexe durcit. J'étais toujours morte de trouille car sa femme n'était jamais très loin et je craignais qu'elle ne remarqua mon trouble car je devais être écarlate. Il fallait à chaque fois que je fuis sa proximité, me réfugiant aux toilettes ou dans la chambre des petites sous un prétexte quelconque. J'étais vraiment naïve (je m'en suis rendue compte par la suite) de penser que sa femme ne remarquait rien. Mais j'étais dans cette logique d'ado amoureuse qui va remplacer "la vieille".
    
    Vint alors la nouvelle rentrée scolaire et ma fréquentation quotidienne de la gare lui permit (ce que je n'avais toujours pas compris) d'amplifier son emprise sur moi. Le matin , le soir, il trouvait prétexte à me "coincer" , me palper, me rendre folle....... Pour vous dire: un matin , il m'enleva et me confisqua ma culotte, m'obligeant à aller ainsi au lycée nue sous mon jean. Je dus donc, sous un prétexte de règles abondantes et non prévues, emprunter une culotte à une interne.
    
    Mes copines de voyage, s'étonnaient de mes incursions dans les bureaux de la gare, je crois que j'en étais fière et elles jalouses. je parlais de départ, de mutation, j'étais en plein rêve.
    
    Un soir, au retour, du train, il ...
    ... m'appela et sous les clins d'œil des copines, il m'emmena dans le bureau (il faut dire qu'à cette époque les effectifs étaient déjà bien réduits et qu'il n' y avait souvent qu'un employé après 17 heures).
    
    cette fois , il ne me tripota pas mais enleva son pantalon et son slip et me demanda (plutôt m'ordonna) de le sucer. j'avais bien déjà fait cela avec des copains , mais cela n'avait jamais été plus loin que quelques coups de langue sur le gland et quelques allers retours rapide, dans la crainte d'une éjaculation.
    
    ce fut tout différend : d'abord c'était la première fois que je voyais sa queue "de visu" assez longue et grosse pour impressionner une ado. , je commençai donc comme d'habitude par des coups de langue et des mises en bouche vite relâchées....ça ne dura pas - "Tu ne sais pas sucer me dit 'il, je vais t'apprendre.
    
    Et là sans autre forme de procès, il me fit ouvrir la bouche bien grande et m'enfonça en force sa bite en m'appuyant sur la tête. j'essayai de le repousser car ça me faisait vraiment mal. Il me tirait les cheveux, je crois bien que je pleurais car c'était bien loin de l'amour fusionnel et passionné dont j'avais rêvé si longtemps. Cette attitude ne lui convenait visiblement pas car il m'annonça qu'il me laissait tomber puisque j'étais incapable de le satisfaire.....
    
    Alors, je me suis laissée faire , il m'apprit à faire une bonne pipe: , branler en suçant, et surtout parfois "avaler la queue" comme on avale un comprimé (j'appris plus tard que cela ...