1. Lyon chapitre 3


    Datte: 09/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: EK43, Source: Hds

    ... la langue pendante et s'approchait de son maître qui venait de s'asseoir une cigarette à la main. Comme par hasard, la cendre tomba sur ça langue, puis le bout rougeoyant s'écrasa sur sa langue humide, lui arrachant un cri bestial. Mais elle avala quand même le mégot.
    
    Maintenant, elle suçait son mâle, avec encore plus d'avidité, plus il la maltraitait, plus elle voulait son jus de couilles, véritable vampire buveuse de sperme, c'est à peine si elle sentait les coups de ceinturon s'abattre sur son dos. Une seule chose comptait, boire le jus de son amour. Elle fut comblée d'une lourde giclée dont elle se délecta avant de s'effondrer, épuisée. Elle avait jouit, la brûlure, les coups, la bouteille, le goût du foutre. Prendre du plaisir sans avoir à se caresser !C'est immobilisée par de solides liens, qu'elle se réveilla.
    
    - « La soirée, n'est pas finie, lança Erik, dans un doux sourire, il est à peine minuit ».
    
    En croix, sur la table, impossible de bouger. La main gauche de son étalon personnel, furetait des seins, à son sexe, puis il lui banda les yeux.
    
    Erik avait décidé de l'orner. D'abord les mini pinces crocodiles sur les petites lèvres et le clito. Et puis ses tétons. Traitement spécial ! Délicatement il avait retiré les boucles de ses piercings, puis il avait désinfecté ses tétines de chienne, et les instruments qui allaient servir.
    
    D'abord de gros clous d'au moins cinq millimètres de large pour ...
    ... remplacer les boucles, agrandir les trop petits trous qu'elle avait sur les tétons. Et d'un ! Et de deux ! Deux coups vifs, les avaient déchirés. Du sang perlait, elle geignait. Les plaies vives, arrosées à l'alcool, la firent sursauter. Puis se fut à de multiples petites piqûres sur les nichons qu'elle dut ses tressaillements, de plaisir et de douleur. Les piqûres durèrent longtemps et son sexe se transformait aussi en pelote d'aiguilles.
    
    Erik se recula, Flore faisait une belle pelote d'aiguilles, serrant les dents, les seins sanglants.
    
    Une main se glissait en elle pour la récompenser de sa souffrance. Une main entière, des doigts délicats, qui caressait son col .
    
    • - « Oh oui ! Oh oui ! criait -elle, encore, encore !
    
    Dans cette posture troublante, elle jouissait encore et encore. Trois heures sonnèrent au clocher, elle suait de partout, et la main n'arrêtait toujours pas. Erik avait la main droite plongée dans cette chatte goulue, pendant que la gauche tirait sur les clous lui distendant les tétons. Elle était une machine à jouir, à jouir jusqu'au coma.
    
    Elle n'avait pas sentit qu'on la détachait, la « déshabillait », la portait sur l'épaule, comme un sac à patates, la jetait sur le lit. Elle ne se réveilla qu'en levrette, chatte pilonnée par le dard de son mâle, et jouissant à nouveau. La nuit fut longue, un sommeil profond les réunis, tous deux tendrement enlacés, torse contre torse, amoureux. 
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