1. Marlène, rencontre avec un travesti 4 Drôle de rencontre


    Datte: 08/04/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... fellation. Le bouton de ma chérie gonfle vite et bientôt sa bite remplit ma bouche. Je la cajole de ma langue. Je l’enfonce dans ma gorge en roulant ses boules et en cherchant sa chatte anale comme elle aime l’appeler. Excitée par mon récit, Marlène s’abandonne et me laisse faire un moment. Malgré tout, elle en veut plus et me réclame une pénétration.
    
    Rapidement, alors qu’elle s’installe couchée sur la table, je me déshabille. Malgré mes prestations de la veille, je bande fort. Il faut dire que Marlène m’excite toujours beaucoup. Elle relève ses jambes et s’offre impudiquement. Elle n’a gardé que ses bas et ses sandales à talon. Je pointe mon dard sur sa corolle et d’un coup, je m’enfonce en elle. Ma bite glisse dans son cul sans la moindre résistance.
    
    - « Salope ! Tu t’es préparée !
    
    - Même pas mon cochon ! Ton histoire m’a excitée comme une folle et je mouille du cul comme une femme de sa chatte. »Cette nuit, quand j’ai baisé Anne Marie en lui suçant les pieds, celle-ci a pris un pied énorme. Aussi, j’enlève une sandale et je prends un pied de Marlène dans ma bouche. Le contact avec les bas est agréable, mais je veux sentir ses orteils directement. Je m’arrête un moment pour lui enlever ses derniers vêtements. Marlène est surprise, car d’habitude, j’aime qu’elle les garde.
    
    Aussitôt fait, je reprend un pied en bouche et je lèche ses orteils. Un à un d’abord, puis plusieurs à la fois.
    
    - « Oh salaud ! C’est bon, ce que tu me fais ! Lèche-moi bien les pieds mon ...
    ... cochon ! Tu es un gros cochon. Tu as toujours des idées un peu folles ! Pour un homme, Marlène à des petits pieds assez fin. Sans être aussi sensible qu’Anne Marie, elle apprécie ma nouvelle caresse. Je sens qu’il lui en faudrait peu pour se laisser aller, aussi, j’arrête souvent mes pénétrations, car si je veux jouir, je veux que ma chérie en garde pour me prendre à son tour.
    
    Finalement, ni l’un ni l’autre n’éjacule, mais le plaisir ressenti est très fort. Rester à la limite est atrocement bon. Nous changeons de place et c’est à mon tour de me retrouver sur la table et de prendre la queue de ma chérie dans le cul.
    
    Marlène ne s’embarrasse pas de fioritures. Elle m’encule puissamment. A la recherche de son plaisir, elle ne m’oublie pas et branle ma queue en cadence. La jouissance monte en moi et sous le double effet de la main et de sa queue, je gicle sur mon torse et mon visage en grognant d’une voix de fausset, comme chaque fois que je me fais enculer.
    
    Marlène me donne à lécher ses doigts couverts de mon sperme et me bourre le cul à grand coups de bite. Elle me remplit de foutre chaud.
    
    - « Alors mon petit pédé ! Tu l’aimes la queue de ta femme ?
    
    - Oh oui ma chérie ! C’est bon !
    
    - Mieux qu’avec ta pute ?
    
    - Différemment. Mais tu sais que j’aime ta bite qui me remplit bien le cul.
    
    - Tu es une salope ma chérie.
    
    - Oui ! Je suis ta salope. Ta pute personnelle. J’aime que tu me baises comme une salope !
    
    - Alors mon cochon, va t’habiller en pute. On va ...
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