COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Début de la saison I (1/3)
Datte: 05/04/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... roulants.
De retour, mes tourments sont là lorsque j’entends chanter dans la salle de bains.
Je suis dans le couloir dans le noir à deux doigts d’allumer, la porte de la salle étant légèrement entrouverte.
Elle est dans la baignoire, se savonnant.
L’eau remplissant la baignoire a dû couvrir le bruit que j’ai fait en entrant dans ma maison.
Mon dieu qu’elle est belle, dans sa blondeur naturelle.
Je me verrais bien ma main à la place de sa main dans son entrecuisse qui m’est en partie cachée et que je peux admirer grâce à la glace qui couvre l’un des murs.
Je la regarde, je sens bien que je fais le voyeur alors qu’il me suffirait de poser mes vêtements et entrer nu dans la pièce d’eau, de monter dans la baignoire et la serrer dans mes bras.
Nous l’avons souvent fait du temps de notre splendeur amoureuse, je lui ai même fait l’amour, au même endroit, elle devant, moi derrière.
Je me retiens, car pour cela ma peau se verrait dans l’obligation d’entrer en contact avec sa peau.
Simplement le fait de penser me frotter contre ce corps qu’elle a souillé avec au moins un autre, hélas, celui-là, je l’ai vu, me serait insupportable !
Un mouvement de répulsion s’empare de moi.
Je retourne dans ma chambre, je dois tout dire, comme au temps de ma jeunesse, la main entre les cuisses d’Iris, c’est la mienne que je lui glisse, l’autre me masturbant.
Je me souviens d’Agathe et de Marie, cette dernière disant à sa copine d’arrêter de me masturber, car ...
... j’étais inerte du côté verge.
Ce soir, sur ce plan-là, je rattrape le temps perdu et je gicle hurlant presque de plaisir au risque de faire croire à Iris, que j’ai ramené cette femme mariée dans ma chambre.
C’est simplement de l’onanisme.
Le lendemain, pour une fois, je dors comme un bébé, mes couilles décompressées.
À partir de ce moment, mon temps est partagé entre mon travail, le sport et la maison.
Elle aussi.
Notre propre maison, offerte par mon père quelque temps après notre mariage, était restée fermée depuis la fameuse nuit, jusqu’à ce que je décide d’y revenir sans penser qu’Iris aurait le toupet de me suivre.
Pendant mon coma, le retour à la vie presque normal jusqu’à la vision retrouvée d’Iris se vautrant dans la luxure, ce qui m’a obligé de revenir à l’hôpital.
Maman et ma belle-mère dirigeaient une équipe de nos employés de maison s'y rendant chaque semaine pour y faire le ménage.
Iris va au travail en même temps que moi, y arrive en même temps et revient à la maison toujours en même temps que moi.
C'est simple comme je l’ai dit et qu’elle me l’a promis, elle me suit.
Cela pourrait me déranger, au contraire ça m'amuse un peu.
Nos parents ont tenté plusieurs fois de nous rapprocher encore plus, mais je reste sur mes positions.
Pourtant, lorsque je repense à la scène dans la baignoire et la décharge d’adrénaline que j’ai ressenties ce soir-là, je dois reconnaître que je l'aime encore, même plus qu'avant.
Je l'avais, je l'ai dans ...