1. Ma belle-sœur au club libertin


    Datte: 04/04/2024, Catégories: 2couples, extraoffre, candaul, grosseins, poilu(e)s, boitenuit, Masturbation Oral confession, jeux, lieusexe, Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe

    ... savoir.
    
    Claire se retire et se met debout. Elle observe avec gourmandise le membre imposant du nouvel arrivant, ce dont s’aperçoit l’intéressé.
    
    — Tu es vraiment bien foutue avec tes gros seins et ta taille fine. Tu as envie de ma queue ?
    — Si mon mari est d’accord, alors j’avoue que je veux bien essayer.
    
    Elle joue son rôle jusqu’au bout. Le mec bien monté nous cherche du regard Michel et moi. J’acquiesce de la tête. Il prend Claire par la main et la conduit vers le canapé.
    
    — Installe-toi ! Présente-moi ton cul ! Je vais te saillir devant ton homme !
    
    Claire s’installe à genoux sur la banquette du canapé. Elle nous présente sa croupe, sa vulve trempée de mouille et toute dilatée déjà par nos pénétrations. Elle regarde avec intérêt ce jeune homme musclé et dont le membre imposant est dressé de désir. Ce dernier l’enfonce sans ménagement jusqu’à la garde. Claire ne peut retenir un petit cri provoqué par la soudaineté et la virilité de la pénétration. Il lui délivre des coups de reins tellement puissants qu’elle crie à chaque coup de boutoir, lesquels l’obligent à s’appuyer contre le mur tant ils sont ...
    ... énergiques. Il lui donne de grandes claques sur ses fesses rebondies en prononçant des propos très crus : « Tu la sens ma grosse queue, salope ! » ; « Elle est bonne ta chatte, ma petite pute ! ».
    
    Devant une telle saillie, il ne faut pas longtemps à Claire pour jouir bruyamment en criant un « Oh ! Oui ! » très sincère, pour le coup. Il se retire d’elle, ôte son préservatif, place sa queue entre les globes de ses fesses et lâche des jets puissants qui la maculent jusqu’au milieu du dos.
    
    Claire est anéantie par le plaisir. Elle a eu son compte. Après avoir bu un petit verre pour nous remettre, nous sortons du club libertin et regagnons la voiture pour rentrer dans mon appartement. Elle est ravie de son escapade, me le dit et m’en remercie.
    
    Au lit, j’ai encore envie d’elle, mais elle est vraiment usée par sa soirée.
    
    — Non, j’ai la chatte en feu, mais je vais te soulager et je n’ai rien contre un dernier petit cunni pour la route.
    
    Nous jouissons tous les deux en soixante-neuf.
    
    Le lendemain matin, elle repart après un petit-déjeuner, non sans dire qu’elle reviendra bientôt en me lançant un clin d’œil plein de promesses. 
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