1. Le camionneur


    Datte: 03/04/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Cepafacile, Source: Hds

    En vacances depuis peu, je me rendais à Reims pour y voir une amie. C'était un jour de semaine et le peu de circulation était essentiellement constitué de routiers. Il faisait chaud et j'appréciais le toit ouvrant de ma voiturex.
    
    Doublant un poids-lourd je fus accueillie par un concert de klaxon au moment où j'arrivais à hauteur de la cabine. Amusée je terminai mon dépassement pour m'apercevoir que le chauffeur, sans doute émoustillé par la vue de ma petite robe d'été, continuait ses manifestations par des appels de phares. Le fait d'exciter ainsi un inconnu fit naître en moi le désir de prolonger le jeu. Je me laissai rattraper par le camion qui me doubla en trombe.
    
    Je restai derrière lui, le temps que passent quelques voitures qui roulaient à vive allure puis, j'entamai à nouveau la manœuvre qui allait m'amener à côté du routier. Pour lui donner de nouvelles raisons de s'allumer je retroussai ma robe sur le haut de mes cuisses de manière à lui dévoiler mes jambes. Comme je m'y attendais il me fit un accueil plutôt bruyant alors que je stabilisai ma vitesse pour maintenir le toit ouvrant de ma petite voiture à l'aplomb de sa cabine. Il devait être fou et cela me plaisait, m'excitait même ! Je passai une main sur mon corps, mes jambes, ma poitrine, mes cheveux.
    
    J'imaginais l'état dans lequel il devait se trouver le pauvre. Je fus ramenée à la réalité de la route par les appels de phare d'une grosse berline noire visiblement pressée, que je n'avais pas vu arriver. ...
    ... Je fus donc obligée de dépasser le poids lourd pour la laisser passer. Ayant attendu que la circulation le permette, le gros camion libéra toute sa puissance pour doubler à nouveau mon petit véhicule que j'avais maintenu a peu de distance devant lui. Cette fois je voulus lui jouer le grand jeu. Je baissai les bretelles de ma robe exhibant ainsi les globes ronds de mes seins. J'étais sûre de leur effet sur ce pauvre homme et j'en étais toute émoustillée. Arrivée à sa hauteur il exprima à nouveau tout le désir qu'il éprouvait et la frustration qu'il devait ressentir. Mes doigts que je faisais promener sur ma poitrine n'arrangeaient probablement rien !
    
    Une fois de plus les exigences de la circulation m'obligèrent à me soustraire à ses regards. J'imaginais déjà ce que j'aurais pu lui proposer au prochain passage lorsque ses klaxons se firent à nouveau entendre derrière moi. Ses phares me lançaient des flashes comme pour me dire de ne pas m'éloigner, et je vis qu'il avait mis son clignotant. En effet la signalisation indiquait une aire de repos à 2 km. La proposition était claire ! Jusqu'à présent nous nous étions amusés à distance, cette fois il désirait aller plus loin ! Je n'avais encore jamais eu ce genre d'expérience. Allais-je assumer mon rôle d'allumeuse jusqu'au bout ? Je me sentais fébrile, puis, comme si elle obéissait à une volonté extérieure, ma main glissa sur la commande du clignotant. Je réduisis ensuite mon allure pour m'engager sur l'aire de repos, le routier ...
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