Alice in Wonderlands? Ch. 02
Datte: 02/04/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bycinolas, Source: Literotica
... fouiller sa grotte. L'épreuve est difficile, je n'arrive pas à me soustraire de cette odeur qui m'envahit aussi le palais. Heureusement Émilie la remplace assez rapidement et je retrouve à travers ses lèvres fines et son ticket de métro un sexe plus accueillant me motivant presque dans ma tâche !
Les sexes se succèdent, fins, épais, glabres, touffus, au clito parfois très présent.Ils sont humides de plaisir sous mes sollicitations, trempés jusqu'à plus soif pour d'autres, me faisant partager l'expression de leurs plaisirs en frottant généreusement toutes les parties de mon visage. Parfois en couple lorsque deux d'entre elles s'embrassent généreusement au-dessus de ma tête et m'offrent leur chatte en alternance. J'ai la bouche remplie de leur jouissance, la tête trempée par un masque de cyprine abondant dégoulinant dans mes cheveux et mon cou, les yeux presque collés, la langue fatiguée à force de léchage sans répit.
À force de passage sous ma langue les odeurs de leurs foufounes se mélangent pour ne plus en former qu'une seule, celle du sexe, de cette histoire de cul entre lesbiennes, de mes futurs souvenirs et de mes doutes lorsque sous leurs stimulations permanentes les bouffés de chaleur me reprennent ! Ce n'est pas possible, je ne peux pas prendre mon pied comme ça, je ne peux pas, je ne veux pas (!), y trouver le moindre plaisir. Pourtant une fois de plus mon corps est en train de prendre le pouvoir et d'envoyer tout le reste balader.
Mon sexe est de nouveau ...
... inondé à souhait et mon clito fait le beau au moindre doigt venant lui compter fleurette. Lorsque j'explose d'un premier orgasme sous leurs mains perverses elles s'arrêtent toute de concert quelques secondes, fières, j'imagine, de leur résultat, pour me laisser profiter pleinement de cette envolée, salopeeeeeeeeeeeeeeees.
Une fois retombée, elles reprennent leur ballet et m'offrent à nouveau leurs grottes humides à ma langue. Je vais subir une seconde secousse sous leurs caresses incessantes avant qu'enfin, elles aussi pleinement rassasiées, le sexe en pâmoison me libèrent de mes liens. Je reste sans bouger pendant quelques minutes, sans voie, tentant de récupérer de la folie de ces dernières heures.
C'est dans ces quelques instants surréalistes qui suivent la bataille, dans ces moments de grâce où seuls un calme et un silence pesant entourent les combattants en présence que seul le battement des ailes de Raymond, la mouche à merde du vestiaire, qui excitée comme un pou par le spectacle offert course sans répit sa moitié Simone pour lui présenter sans plus attendre ses honneurs, se fait entendre !
C'est Aurélie qui met un terme à cette courte tranquillité et vient m'aider à me relever. J'essaye d'ouvrir les yeux collés en partie par cette abondance de mouille. Les quatre autres sont assises sur les bancs du vestiaire, toujours nues, attendant je ne sais quelle autre péripétie. Une nouvelle salve d'applaudissements résonne dans le vestiaire.
- Hi pipipe hourra ...