Sexy road - Histoires de Sexe

Sexy road

J'ai failli attendre, car ce jour-là, je suis arrivée en avance et toi en retard ! Mais j'ai trouvé à m'occuper, faisant des photos sexy dans ma voiture : une jupe rouge à la fente interminable, un t-shirt brodé de perles, et ce nouveau string rouge avec une enfilade de perles blanches qui passe sur le pubis... Puis je me suis postée au coin de rue où tu devais me prendre, à regarder passer les beaux gosses coureurs du raid qui descendaient par groupes de trois d'un camion militaire.

Et enfin, te voilà, mon Loup, mon Catkiller, mon Libertin particulier ! Toi et moi, c'est de l'or en fusion , chaque rencontre comble toutes nos folies.

Je grimpe à côté de toi sans oublier de te voler un de ces baisers dont tu es si avare parfois, et moi si friande tout le temps.

Et nous voilà en route pour une chaude escapade en ville. On évoque mes craintes et mes désirs pour la première au club, mais très vite ta main et tes yeux biaisent ma cuisse. Aussitôt je réagis en écartant les jambes et les pans de tissu. Tes doigts font rouler les perles contre mon clitoris, avant de s'engouffrer dans la fente. ...

... Tu connais les secrets de mon plaisir et ton doigté me tiens tout le trajet au bord de la jouissance : le jeu consiste à toucher au paroxysme de l'excitation jusqu'au club, pour parer à tout vestige de timidité. Je palpite et tu bandes. Tes doigts fichés en mon point G, pieds nus sur le tableau de bord, mes dents dans ton cou, à mon tour de visiter ton short.

Après quelques sursauts de pudeur où je me replis lorsque tu doubles une voiture, je me dis que cet instant est tellement bon et excitant que je ne laisserai plus rien ni personne m'en détourner. Je t'avertis que dès que nous arriverons sur le périph, on arrête tout, mais que là j'en veux plus, il faut que tu me doigtes encore et encore. J'abaisse un peu mon fauteuil et mon sexe tout au bord... Je ne regarde plus que toi entre mes cils et j'étreins ton membre, te rendant ta concupiscence en pressions et vigoureux aller retour. Je ne devrais pas jouir, mais... Des vagues de plaisir m'envahissent et je m'y abandonne sans résister. Je ne donne pas cher de ma jupe après cela, et crains fort de faire une entrée à l'hôtel en rasant les murs...