1. La bergerie


    Datte: 06/03/2018, Catégories: fh, photofilm, Masturbation Oral préservati, sorcelleri, occasion, Auteur: Gus-solo, Source: Revebebe

    ... le lit, tombe le peignoir et se roule langoureusement… ma bite est si tendue que j’accroche des fringues au passage, ça la fait rire… on fait une petite pose et je m’affale dans un petit divan d’un coin de la chambrée… Je suis encore un peu ivre et ma queue tire toujours la langue… ça n’est même plus drôle…
    
    Lucia descend du lit, façon chatte en chaleur et me rejoint dans le divan…
    
    — J’ai quelque chose à t’avouer et ça va sans doute te foutre les boules…
    — Aïe ! Qu’est-ce que tu vas me sortir ? De toute façon, je ne vois pas comment je pourrais avoir plus les boules que là maintenant tout de suite.
    
    De fait, je n’ai jamais eu les couilles si remontées qu’à l’instant, si c’est de là que vient l’expression, c’est très parlant et j’en mesure précisément la signification.
    
    — Je t’ai joué un tour, mais je n’étais pas toute seule…
    
    … je lève les sourcils…
    
    — J’ai un peu joué à l’apprentie-sorcière…
    
    … j’ai toujours la même expression débile…
    
    — Mon arrière-grand-mère avait un carnet de recettes à concocter avec des plantes du coin…
    
    Je ne vois pas où elle veut en venir, je ne sais pas à quoi elle joue, est-elle sérieuse ou non ?
    
    Elle se rapproche encore, colle sa cuisse contre la mienne en tournant sa poitrine vers moi… et prend doucement dans ses mains mon mandrin endolori, il est tellement gonflé que j’ai l’impression qu’il a grossi… elle me regarde par en dessous et continue son histoire
    
    — C’est de ma faute si tu es tout congestionné, j’espère que ça ...
    ... ne te fait pas trop mal…
    
    Elle me masse tout l’organe et ça me fait un bien fou… Popol bondit entre ses doigts comme un diable à ressort, il est manifestement très content…
    
    — Ça faisait mal jusqu’à ce que tu y mettes les mains… ça me fait un bien fou…
    — Mon arrière-grand-mère était une petite cochonne… elle collectionnait les soi-disant « philtres d’amour »… Elle les testait sur les villageois mâles et femelles, observait les réactions et les notait soigneusement dans son petit cahier de recettes… une vraie petite scientifique… elle a pu faire ça longtemps puisque tout le monde était heureux et que ça niquait à tout va… personne ne lui a jamais cherché des poux.
    — Tu m’as fait boire un philtre d’amour ?
    
    Je la regarde d’un air mi-moqueur, mi-dubitatif.
    
    — J’ai mis dans le rosé quelques gouttes de ce que ma sorcière de grand-mère appelait « eau de ribaude », mais tu m’as un peu servi de cobaye masculin.
    — Si je ne meurs pas, j’espère que c’est bien payé…
    — Qu’est-ce que tu crois ? Je l’ai d’abord essayé moi-même. Je n’aurais jamais pris ce risque si je n’étais pas sûre que ce soit sans danger.
    — Ouf, merci… en tout cas si c’est censé faire bander, ça marche, ça marche même très bien, trop peut-être… ça va encore durer longtemps ?
    — Je ne sais pas bien, j’ai peut-être un peu forcé la dose… j’en ai pris autant que toi et j’ai les tétons et qui tirent très fort, j’espère que ça ne te fait pas trop mal…
    — Oh putain… faut déposer un brevet, tu vas faire fortune…
    — ...
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