La bergerie
Datte: 06/03/2018,
Catégories:
fh,
photofilm,
Masturbation
Oral
préservati,
sorcelleri,
occasion,
Auteur: Gus-solo, Source: Revebebe
... la blonde et la grosse bite… tu as raison, ça va me foutre des complexes.
— Bah, ça va… tu n’as pas trop à te plaindre…
— Ah pardon, mais si, j’ai à me plaindre… moi aussi j’avais de beaux cheveux blonds avant, y’a un demi-siècle, sur mon tricycle rouge, y’a même quelques photos qui en attestent… je te jure !
Elle rit… j’aime bien quand elle rit… l’alcool arrive à me faire croire que je suis drôle… saloperie d’alcool…
— Tu veux toujours faire des photos de moi ?
— Non… je préférerais faire des images avec toi, nuance… Je préférerais que tu participes activement, je compte sur tes idées, ta propre vision du nu.
— À quoi tu penses ?
— Rien de précis, mais si tu as une idée ou une envie, n’hésite pas.
— Au fond, que ce soit de moi ou avec moi, je m’en fous, mais il me faut encore quelques verres, d’accord ? Je serai plus détendue.
— OK, fais comme chez toi…
Je la laisse un instant pour aller chercher mon sac photo et quand je reviens, elle a de nouveau rempli mon verre… je ne sais plus si j’ai bien compris qui devait être « remonté »… c’est elle ou moi ? Jusque-là je pensais qu’elle devait un peu se pochetronner pour se lâcher, mais je commence à me demander si le but n’est pas plutôt de me faire oublier les photos.
— Eh bien, dites donc, madame à une belle pente !
— Merci, hihi, ça me touche…
— Après celui-là, je pause, sinon je ne serai plus bon à rien…
— Après celui-là, on s’y met, promis…
On discute d’un peu de tout, on en vient à parler de nos ...
... métiers respectifs et de la forte probabilité qu’on n’a rien inventé ou découvert en pharmacie depuis vingt ans sauf bien sûr, le viagra… et évidemment, de fil en aiguille, elle en vient à essayer de savoir si j’en ai déjà pris… (Bon, encore une petite parenthèse : si je vous dis qu’à plus de cinquante ans, dépressif, burnouté, antidépresseurisé et fumeur de longue durée, je bande encore comme au bon vieux temps, vous me croyez ? Bien sûr que non ! Je dois bien admettre que même si j’envisage les sombres desseins de l’industrie pharmaceutique avec beaucoup de circonspection, je dois reconnaître que pour l’aspirine et le viagra, on ne peut pas se plaindre…) J’ai le choix entre faire mon vantard et garder ma dignité ou avouer ma faiblesse et avoir l’air minable… (je vous ai dit que j’étais dépressif ?) Je choisis évidemment d’avoir l’air minable et j’avoue ma déchéance… de toute façon, je ne comptais pas vraiment sur son admiration.
— Ben toi au moins tu es honnête…
— Super ! Et qu’est-ce que je gagne ?
— Ne te plains pas trop, j’en connais des plus jeunes que toi qui prennent des médocs pour le cœur et là, tu oublies… c’est mort !
— La vie est une salope… après les antidépresseurs qui donnent des idées suicidaires, voici les médocs pour le cœur qui empêchent d’aimer…
— Voilà… et moi je suis grooosse… et personne ne veut de moi
— Pour toi, au moins, il y a de l’espoir… Tu es libre depuis quand ? Avant-hier ? Jolie comme tu es, je parie que si tu cherches un peu, tu baises ...