le réveil d'un autiste, Barbara 2
Datte: 01/04/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
... encore ce qui l’attend. Elle frotte le gourdin courbé sur sa fente et le remonte plus haut vers son anus pour continuer son manège. Après avoir humidifié sa rondelle, elle place à son entrée le bout de la virole et pousse doucement… ¬
-Allez ! Sodomise-moi en douceur, je suis sûr que tu vas adorer ça…
Le jonc toujours aussi vigoureux pénètre peu à peu sa rondelle, son anneau musclé se détend à peine, ne laissant que le gland se faufiler et qui reprend aussitôt la frontière passée qui l’a tant compressé les quelques millilitres de sang qu’il avait perdu. Les fesses en l’air, à la merci de l’énorme mandrin, son excitation est à son comble. Barbara écarte de ses mains ses fesses et pousse en arrière dès qu’elle sent son anus se distendre enfin. Le défonce-cul s’insinue toujours plus loin, s’installe, prenant lentement sa place, glisse doucement dans son conduit anal qui n’a jamais été à telle fête.
Enculée jusqu’à la garde dans cette drôle de position, quasiment nue. Sous cette pénétration anale dont elle a été privée depuis le début du confinement par son « Jules », Barbara ressent un immense bonheur, son anus n'a rien perdu de son élasticité, il est toujours capable d'accepter un membre viril, si dur et si imposant soit-il, et celui de Narcisse a la première place du podium, question gabarit. Lorsque la totalité de la longue verge courbe se trouve enfoncée dans son conduit anal, elle s'immobilise, afin de s'habituer à cette présence incongrue à l'intérieur de son ...
... rectum :
-Tu vois Narcisse, lance-t-elle... Ta queue peut s’enfoncer dans mon cul... Tu me sodomises.
Empale-moi ! Empale ta queue dans mon beau petit cul ! Ton mandrin me perfore, défonce mon intimité, frappe tes couilles sur ma fente, fiche-toi au tréfonds de moi ! Putain de merde ce que je dérouille mais n’arrête surtout pas !
Le plaisir est tel qu’elle explose et crie de plaisir, le supplie de la prendre à fond, de la pourfendre comme la dernière des traînées, comme une chienne. Narcisse recommence son travail de sape comme dans la chatte. Il la pilonne, la pistonne, l’encule de toutes ses forces avec toute la vigueur de sa jeunesse et de sa force, son léger autisme abolissant tout blocage mental. Est-ce que le fait d’enculer sa cousine le stimule encore plus ? Il ne le sait pas lui-même... A grands coups de reins, il l’empale, jouant du pouvoir sexuel de cette queue qui ne faillit jamais, ressortant presque de l’anus dilaté, le gland au bord du cratère dilaté puis repart au fond de ce boyau. Barbara ne cherche pas à retenir sa jouissance qui une nouvelle fois la terrasse et l’encourage dans sa mission.
-Pine moi avec ton sabre, donne des coups d’estoc, et à la fin embroche-moi toujours plus loin, toujours plus fort !!!
Tous ces encouragements amplifient encore le désir de Narcisse, qui ressent une onde de plaisir lui irradier le bas-ventre. Cette pénétration qu'il avait commencé quelques minutes plus tôt avec un de ses doigts est tout autre, et c’est Barbara ...