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La Thése...
Datte: 30/03/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: byANDRERP95, Source: Literotica
... dix minutes, je réponds à leurs sourires. L'atmosphère se détend un peu. Le film est un tantinet chiant. Genre prise de tête. Je vois bien qu'ils lorgnent mes jambes. Je regrette d'être en jupe. En plus elle est assez courte. Heureusement que j'ai des collants noirs. Instinctivement j'ai boutonné mon chemisier quand je me suis aperçue que de leurs sièges, ils avaient une vue imprenable sur la naissance de mes seins et sur le haut de mon soutien-gorge blanc. François s'est penché à mon oreille et sa main s'est posée sur le col de mon chemisier. J'avais encore mon manteau sur moi. - C'était mieux avant.... Il a un sourire d'ange. Je lui souris aussi. Il me fixe et avec une habilité diabolique, il rouvre les deux boutons de mon chemisier. Je n'ai rien fait pour l'empêcher. Je ne sais pas pourquoi. Je n'ai pas reboutonné non plus. Il a pris cela comme une invite et a ouvert le troisième bouton, dévoilant mon soutien-gorge. Éric ne regardait plus le film. Moi je me forçais à garder les yeux rivés sur l'écran. J'avais chaud, très chaud. Ma gorge était nouée. J'ai bien vu que les deux garçons ont échangé un long regard. J'ai bien compris qu'il y avait pleins de trucs dans ce regard et qu'une connivence s'installait entre les deux. Bien sûr, je pouvais me lever et quitter les lieux. Mais je n'en avais pas la force, le courage ou l'envie. Je restais immobile entre eux à regarder ce qui se passait sur l'écran. J'attendais je ne sais quoi. C'est Éric qui a ...
... posé le premier une main sur mon genou. J'ai sursauté de surprise. Il a serré fort et j'ai pas pu me libérer. Il a compris que s'il me lâchait, je me lèverais. Il est resté sans bouger. Moi aussi. Heureusement sur l'écran est apparu le message annonçant la fin de la première partie. La salle s'est éclairée. Il m'a lâché. Je voulais partir. Je suis restée. Ils ont été assez surpris de voir que je ne bougeais pas. J'étais aussi surprise qu'eux. Nous sommes restés sans bouger à attendre la reprise du film. L'ouvreuse est passée. François a acheté deux paquets de pop-corn et un esquimau qu'il m'a tendu. - Je suis sûre que t'aimes les esquimaux... Il y avait tellement de sous-entendus dans cette affirmation que l'autre mec a souri. Un grand sourire. Dans un mouvement puéril de fierté mal placée, j'ai pris l'esquimau, ôté lentement sa protection pour le prendre langoureusement en bouche. - J'adore..... Tout me poussait à partir, à déguerpir en vitesse. Je savais que si je restais, je ne pourrais plus échapper. Mais voilà, je ne pouvais pas bouger. Je ne voulais pas bouger. Eux, ont compris avant moi ou mieux que moi et attendaient sagement que la lumière s'éteigne. Ils me regardaient manger mon esquimau. J'avais honte de sucer cet esquimau devant eux. Il y avait un coté érotique qui n'échappait à aucun de nous. Leurs mâchoires viriles mastiquaient leurs friandises. Ils n'étaient pas mal, mais je ne faisais pas attention à leurs physiques. La lumière s'est ...