1. La Thése...


    Datte: 30/03/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: byANDRERP95, Source: Literotica

    ... même temps, je mouille comme jamais et l'envie que cela continue devient intolérable.
    
    - Comment tu fais à l'université?... Tu leur présente ton cul et le premier qui passe te tringle?...
    
    Il est enfin collé contre mes fesses. Son gros ventre est posé sur le haut de mes fesses. Ses poils grattent ma peau. Son gland est abouté contre mon utérus. Mon vagin écartelé devient glissant.
    
    - Ma parole! Tu mouilles encore plus!
    
    C'est vrai que je mouille. Je serre les dents et je mouille. J'ai pas mal, mais c'est limite. Heureusement qu'il commence à me pistonner tout doucement. C'est encore plus jouissif de sentir cette chose sortir lentement. Comme si on m'aspirait de l'intérieur. Comme si je me vidais. Puis la bête revient pour se loger au fonds de mon utérus frottant à fonds mes parois dilatées.
    
    A chaque poussée, mon vagin lâche du liquide. Un mélange de spermes et de mouille et fait un bruit de succion. Il prend son temps et cela me rend folle. Je gémis doucement.
    
    - Tu prends ton pieds ma salope...
    
    Il accélère lentement la cadence. Mes entrailles vont exploser. Je coule et l'excitation gagne tout mon corps. J'ai envie de crier. Pas de douleur. Non la jouissance est maximum. Je me cabre sous ses assauts. Lui me tient fermement collée contre son pubis. Il est trop excité pour se retenir et son arme crache des flots de liquide qui remplissent mon tunnel complètement dilaté.
    
    Je reste pantelante contre lui attendant qu'il sorte et me libère. Lui ne bouge pas. Sa ...
    ... queue diminue de volume. Il me caresse les fesses.
    
    - T'es une bonne pute toi. Tu peux revenir quand tu veux.
    
    Son sexe me libère et un flot de sperme coule sur le plancher. Il se rajuste et quitte le cagibi sans un mot. Je tente de me redresser. Je suis obligée de m'asseoir tellement je suis vannée.
    
    Je coule encore. Je me refringue péniblement.
    
    Je sors de ce trou à rat.
    
    Je regarde mon visage dans la glace sale au-dessus du lavabo. J'ai les traits tirés et je suis très pale. Je tente de m'arranger un peu. Je remonte dans la salle. Je quitte le café en marchant lentement. Mon vagin est encore dilaté. Il y a un gros mec derrière le comptoir avec d'épaisses moustaches et une crinière poivre et sel. Je suppose que c'est lui qui a un tel engin dans le froc. Il me lance un «au revoir madame» sonore. Tous les clients me regardent quitter les lieux.
    
    Je regagne mon appartement minable.
    
    Je me lave longuement sous la douche. Le seul luxe de ce studio. Mes mains se promènent sur mon vagin ou mon anus. Je suis bien. Sereine et épanouie. Mes idées sont claires. Je sais ce que je dois raconter dans ma thèse. Les idées jaillissent et s'enchaînent sans problème dans ma tête.
    
    Je me couche complètement nue sur mon lit. J'ai envie de rester nue. Je me sers un verre. Il ne me reste qu'un fond de tequila que je sirote lentement à toutes petites gorgées. J'écarte mes jambes sans aucune pudeur. Je sens mes lèvres intimes s'ouvrir. Je n'ai pas un corps parfait, mais je suis pas ...
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