1. Rose et Glucose


    Datte: 30/03/2024, Catégories: fh, fhh, extracon, voyage, Oral préservati, pénétratio, candaul, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    Il y a quelque temps, ma femme et moi étions à Katendrecht, un quartier plutôt chaud, plus précisément une presqu’île jouxtant Rotterdam. Avant la dernière guerre mondiale, en plus d’une grosse population de marins, la plus grande communauté chinoise d’Europe y résidait à cause du port, mais il ne faut pas y voir fatalement une relation de cause à effet entre Asiatiques et chaleur nocturne.
    
    Maintenant, Katendrecht est devenu nettement plus sage, surtout la nuit. Trop, même, diront certaines personnes très larges d’esprit…
    
    Revenons à cette glorieuse époque où nous étions jeunes, fous et royalement inconscients…
    
    En cette soirée agitée de juin, sans avoir bien compris comment, Rose et moi atterrissons dans un club de strip-tease. Dans cette boîte, nous ayant repérés(enfin, plutôt ma brune épouse que moi), un francophone nous offre à boire. Maxime est plutôt mignon de sa personne(dixit ma femme), ayant au maximum dix ans de plus que nous. Il est dans le coin pour affaires et il se détend des difficiles pourparlers de la journée à sa façon.
    
    — Les Chinois sont durs en affaires ! Et les Hollandais ne sont pas tristes non plus !
    — Je veux bien le croire, Maxime.
    — Eh bien, le pire qui puisse arriver, c’est de tomber sur un Chinois hollandais, ou l’inverse !
    
    Nous discutons d’un peu de tout et de rien, il drague éhontément Rose sous mon nez, et moi, ça m’amuse. Conquérant, il la serre de près. Ma femme(Marie-Rose de son vrai prénom, mais elle préfère Rose tout ...
    ... court) aime beaucoup faire de l’effet aux hommes, surtout quand ceux-ci ne sont pas moches. En clair, elle est bien chauffée, par l’ambiance et par son dragueur.
    
    — Auriez-vous des épines, belle Rose ?
    — Pour ceux qui s’y prennent mal, oui…
    
    À prime vue, Maxime semble bien s’y prendre puisqu’aucune épine ne s’est plantée dans ses doigts qu’il a fort baladeurs. Au bout d’un certain temps, sans but bien précis, nous sortons. À deux pas, comme à Amsterdam, il y a quelques vitrines dotées de rideaux rouges, le tout éclairé par un néon tout aussi rouge.
    
    Amusé, je lance à ma chère épouse :
    
    — Serais-tu capable de t’exhiber à poil dans la vitrine ?
    — Hou, le vilain garçon qui veut exhiber sa petite femme sans défense !
    — Alors ?
    — Chiche, mon gros lapin !
    
    Je ne suis pas du genre à me dégonfler pour si peu. Avisant une vitrine dont le rideau est propre, mais fermé, bien qu’il y ait de la lumière derrière, je sonne à la porte juste à côté. Peu après, une femme lourdement maquillée en déshabillé et ensemble rouge et noir s’encadre. De mon meilleur anglais, je lui demande si nous pouvons louer son local avec vitrine pour quelques minutes.
    
    Pour faciliter la lecture, le dialogue qui suit est traduit.
    
    — Louer ma chambre ? Comme une voiture ?
    — Oui, louer… Une expérience à mener avec ma femme et son galant…
    — Son galant ? Oh toi, tu dois être français ! Je l’entends à l’accent, la façon de parler et surtout les idées biscornues !
    — Oui, ma femme et moi sommes français. ...
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