Le hasard fait si bien les choses - Histoires de Sexe

Le hasard fait si bien les choses

... ! Et je t’assure qu’on ne te violera pas. Mais pourquoi ne pas la laisser dormir avec nous, si elle est d’accord ! Tu aimerais peut-être… Et si elle découche nous nous suffirons. Corentin insiste pour que nous terminions la nuit chez lui. Il a encore envie de moi et je le sais sincère. Tout comme moi j’ai envie de lui. Il tient à ce que nous allions chez lui et aimerait me partager avec sa femme si elle rentrait de chez son amie. Il dit qu’il y a peu de chances, et qu’elle serait certainement épuisée si elle rentrait. L’amie lesbienne et Marie étant très gourmandes, il y avait très peu de chances que nous finissions la nuit avec elle. Il souhaitait seulement laisser une possibilité au hasard…
— Je l’ai déjà fait !

Corentin à qui j’ai coupé la parole a un regard interrogatif…

— J’ai… Mon mari et moi et deux femmes… Enfin, deux femmes différentes. Femmes que nous avions rencontrées chaque fois par hasard. Tu vois…

Il a un petit hochement de tête, lance le moteur et démarre.

— C’est dommage alors. Tu es jolie, très excitante, j’adore que tu aimes t’exhiber, tu es nature et tu t’assumes. Tu me plais même trop d’ailleurs. C’est pour ça aussi que j’aimerais que Marie et toi… Tant pis.
— Qu’est ce qui est dommage ?

Il est attentif à sa conduite, nous venons de croiser des flics et des véhicules arrêtés. Un accident qui a l’air assez sérieux

— Que tu n’aimes pas partager ! Avec toi, le hasard n’a pas été très heureux semble-t-il. Si tu l’as déjà fait et que tu ...

... ne tiennes pas à tenter le sort, c’est que tu n’as pas aimé. Sinon je pense que tu es assez entreprenante et sauterais sur l’occasion, surtout que Marie est très jolie.
— Je n’ai pas dit que je n’avais pas aimé. C’était avec mon mari. C’est très différent !
— Je comprends. Tu as raison. Ce serait une nouvelle expérience. Peut-être une autre fois.
— Ok… Nous allons chez moi prendre de quoi me changer. Il me faut une douche. Et nous en discuterons…

Debout, jambes écartées et mains contre le mur carrelé de la salle de bain, Corentin me baise encore. Et il le fait bien. Doigts sur l’une ou l’autre de mes pointes de seins, les pinçant ou les étirant doucement, les délaissant pour me caresser les épaules, descendre et caresser mon clitoris, remonter en caressant mon dos, m’embrassant dans le cou ou mordant doucement ma nuque. Je me laisse aller à gémir sous ses caresses. De plus en plus souvent. Le plaisir monte et Corentin le sent.

— J’ai très envie… De ton cul…

C’est une vérité première. Si une femme aime la sodomie, l’homme qui la lui administre en est plus qu’heureux. Et s’il se rend compte qu’elle jouit de cette façon d’être prise… Ça le rend fou de désir. Si j’aime être sodomisée, je ne l’avais été jusqu’ici que par mon mari. Tout se passait cette nuit comme si je n’étais pas maîtresse des événements. Corentin était agréable et je me sentais bien avec lui mais il y avait autre chose. Je me connaissais assez pour savoir que je me laissais emporter sans pouvoir ...