Le hasard fait si bien les choses - Histoires de Sexe

Le hasard fait si bien les choses

... cette fois, je l’entends regagner son fauteuil. Cette façon de faire de la part de Chloé m’a excitée mais l’idée qu’elle n’a pas dû cesser de nous regarder m’a presque fait jouir.

— Eh bien… À poil sous ta robe ? Tu l’étais hier aussi ?
— Oui Marie…
— Corentin a dû adorer. Tu as l’air mignonne à croquer Juliette. Ce que je vais faire crois-le bien… Tu veux bien me faire jouir avant ?

Marie trempe mes lèvres et depuis l’intervention de Chloé, je ne cesse de l’imaginer nous regarder.

— Je veux que tu me doigtes l’anus.

Je me retiens de jouir, j’essaie. Je ne pourrais pas me retenir de me caresser très longtemps. Quand ma langue la lèche, titillant son anus, Marie gémit sans discontinuer et quand je cherche à forcer son petit trou, Marie laisse échapper un petit cri.

— Tu vas me faire jouir…

Ma langue butte un instant sur son petit clitoris puis mes lèvres l’aspire. Sa main prend mes cheveux et m’oblige à m’éloigner de ses fesses.

— Oh… C’est bon… Continue Juliette. Doigte mon cul…

J’avais oublié cette recommandation ou devais-je parler d’ordre. D’un doigt je pénètre le petit trou et tout le corps de Marie frissonne.

— Oh oui… Oui… Je vais jouir, n’arrêtes pas. Tu n’arrêtes pas !

Marie jouit aussitôt sa phrase achevée et sa main est venue sur sa fente. Les poils flamboyants qui la bordent brillent de sueur et de cyprine. Je regarde ses doigts sur sa chatte, puis dans sa chatte. Mes doigts sont sur ses fesses, le majeur allant et venant dans son ...

... petit orifice mouillé. Les doigts de Marie dansent une sarabande effrénée, s’enfoncent en elle et ressortent de plus en plus vite, et ce ne sont plus de doux clapotis que j’entends. Marie est trempée. Elle coule sur son petit trou, sur ma main. Mon index se colle à mon majeur ressortit de ses fesses et mes doigts s’enfoncent d’un coup. Je les enfonce en les écartant l’un de l’autre. Elle devrait adorer ça. Maintenant, sa main agrippe mes cheveux, plus fort, me rapprochant de ses fesses inondées. Marie me fixe, se mordant les lèvres, et je comprends. Elle jouit avec un cri, balbutie quelque chose, crie encore… Elle gicle d’un coup. ! Un jet qui m’asperge le visage, puis un autre jet qui m’arrose encore. Le regard de Marie est voilé mais elle continue à me regarder. Elle a du mal à respirer mais arrive pourtant à lâcher quelques mots.

— Ta bouche… S’il te plait Juliette. Ta bouche… Ouvre ta…

J’ai compris et je m’approche de sa chatte malmenée par ses doigts.

— Oh je vais…

Les yeux plantés dans les siens, j’ouvre la bouche. Marie n’achève pas sa phrase, me sourit en murmurant que je l’excite et ne pouvant se contrôler plus longtemps, se laisse aller dans un dernier jet. C’est amer et je n’aime pas plus que ça. L’idée de rendre Marie folle de désir m’a fait jouir en la recevant dans ma bouche. Un orgasme court et discret. L’acte était excitant, mais ce sont les mots de la rousse qui ont déclenché cet orgasme, sans que je ne puisse le retenir. Marie l’a pourtant remarqué ...