1. Le collier


    Datte: 11/07/2019, Catégories: fff, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, jouet, Lesbienne Auteur: Kitty Lévine, Source: Revebebe

    Si vous avez manqué le début : Je me remémore une étrange expérience avec un de mes modèles : Mylène. Certaines élèves étant parties, l’atmosphère se détend.Si vous avez manqué la suite : Ce cours de dessin devient un lieu de jouissance, d’exhibition…
    
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    Ils sont tous partis ; enfin presque tous. Karine est assise avec moi, par terre, devant le canapé, et nous sirotons la bouteille de champagne que j’ai ouverte, car nos émotions valent bien ça. J’ai juste enfilé un tee-shirt et je suis bien.
    
    — Tu m’as vraiment époustouflée tout à l’heure ! me dit soudain Karine.
    — Pourquoi ?
    — Déjà je ne pensais pas que tu ferais la pose nue. Comme quoi ! Ensuite, tu as été d’une impudeur très, très…
    — Très excitante ? C’est ça ? D’ailleurs en ce qui te concerne, tu as été bien aussi ; entre la pipe magistrale et le patin à Isa ! Ça t’arrive souvent, avec les filles ?
    — Puisqu’on en est à se mettre à poil, oui, cela m’arrive, avec les filles, et je dois dire que c’est assez génial !
    
    Elle m’émoustille ma Karine. Je deviens insatiable, je deviens une autre :
    
    — Ben, je croyais que tu avais dit que tu te mettais à poil ?
    
    Elle me regarde, me sourit, et se lève.
    
    — Vos désirs sont des ordres, majesté !
    
    Et sans plus attendre, elle se déshabille en un clin d’œil et revient s’asseoir, telle une odalisque. J’ai le droit àla naissance du monde sauf qu’elle est mieux foutue que celle du tableau de Courbet. Je crois que j’ai envie de la ...
    ... dévorer. Des yeux, de mes mains, de ma bouche, de mon nez, de la toucher avec mon cul, de sentir sa vulve contre la mienne. C’est fou, moi qui n’avais jamais fantasmé sur une fille avant d’avoir rencontré Mylène, voilà que je deviens accroc.
    
    Merde ! Mylène ! J’avais oublié qu’elle devait passer. Évidemment, on sonne à la porte à ce moment. Après tout ! Karine va pour se rhabiller, mais je l’arrête :
    
    — Ne t’inquiète pas. Justement, c’est Mylène !
    
    Et je vais ouvrir à une Mylène qui ne semble absolument pas offusquée de ce qu’elle voit - d’ailleurs, ça m’aurait étonnée ! - qui me fait la bise et de même avec Karine, assise par terre, nue et… presque offerte !
    
    Du coup, je me fends d’une explication chronologique à mes deux amies, tout en servant tout ce monde d’un champagne qui fuse. Puis, Mylène déclare en se levant :
    
    — Après tout, c’est moi l’exhibitionniste de base, et je suis la seule à avoir une culotte ; ça ne va pas !
    
    Et elle retire ses chaussures, son pantalon et son slip dans un même geste, puis le reste suit.
    
    — Et voilà, on se sent mieux, non ? dit-elle alors qu’on rit toutes les trois avec des accents de champagne.
    
    À ce moment, elle éternue.
    
    — Voilà notre exhibitionniste qui s’enrhume ! pouffe Karine.
    
    Mylène tend sa main vers son sac, sans doute pour extraire un mouchoir, quand il se renverse en partie sur le tapis, et on voit apparaître trois godes et un truc bizarre, rose fluo, comme un chapelet de grosses perles !
    
    — Ben dis donc, c’est ...
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