1. Joseph et Liriam - 1


    Datte: 27/03/2024, Catégories: Afrique, fh, fhh, couleurs, extracon, candaul, grossexe, amour, odeurs, caresses, Oral 69, init, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    Résumé complet de l’épisode
    
    Quelque part en Afrique subsaharienne, je vis le jour ne sachant pas où exactement, mes parents étant en quelque sorte assez nomades.
    
    À l’âge de cinq ans, mon père fut tué par une bande de voyous et mère se mit en ménage avec un missionnaire belge, Louis.
    
    Louis fut plus qu’un père pour moi. C’était un personnage curieux, contrairement à père, toujours armé d’un pistolet et d’une machette, même dans sa chambre, mais il avait un cœur d’or, c’est ce qui a probablement attiré mère.
    
    Je suis, vis-à-vis des autres enfants, plutôt désavantagé, étant plutôt malingre, surtout par rapport à Liriam, mais avec lui, on est très amis.
    
    Louis était très strict pour mon éducation, rapidement, je devins le premier de classe et plus le temps passait, plus l’écart avec les suivants se creusaient. J’aidais souvent mon ami Liriam avec ses devoirs scolaires et lui me protégeait.
    
    Louis m’apprit aussi la musique, principalement dans le but de me faire devenir un joueur d’orgues.
    
    À quatorze ans, je dus reprendre le jeu d’orgues, le titulaire précédent, sous la force, s’étant converti à l’Islam et étant parti avec une escouade de terroristes musulmans.
    
    À seize ans, Louis m’envoya chez Lisette, sa sœur, à Louvain, pour faire mon baccalauréat et peut-être me mettre à l’abri.
    
    Je passai mon bac sans trop de problèmes, Lisette, m’entourait d’un très grand amour, j’étais l’enfant qu’elle n’avait pas eu et qu’elle n’aurait probablement jamais1. Sous la ...
    ... recommandation de Louis, on me confia les grandes orgues de l’Église et une copine, qui en pinçait pour moi, m’avait déjà surnommé l’araignée en référence à mes mains qui parcouraient avec élégance, le clavier, de longs doigts secs et nerveux.
    
    L’ancien organiste ayant de l’arthrite dans les mains, il me guida pour améliorer mon jeu et surtout m’encouragea à poursuivre dans les œuvres profanes, m’enseigna la composition. À part le répertoire de Bach incontournable pour l’orgue, il me fit connaître un peu tout le répertoire possible pour l’orgue ; à part l’école, je passais le plus clair de mon temps avec lui.
    
    Lisette m’encouragea à continuer mes études, alors que je lui demandais si je ne devrais pas retourner vers ma mère.
    
    — Le bac, c’est le début des études sérieuses, pas la fin. Qu’est-ce que tu veux faire ?
    — Cela dépend, mais j’aimerais redonner un peu de ce que j’ai reçu.
    — Dans ce cas, il faut faire des études pédagogiques. Je vais t’inscrire à la faculté de pédagogie et en parallèle, car tu es doué, tu suivras pendant ce temps, le conservatoire de musique.
    — Super, j’aime tellement la musique.
    
    C’est ainsi que quatre ans après, fort de deux nouveaux diplômes, je quittais Lisette, les larmes aux yeux, je voyais bien qu’elle brûlait de m’accompagner, ayant le sentiment que mon départ était comme si on lui enlevait un membre. Étant très naïf, je ne m’étais pas rendu compte qu’elle était, en fait, amoureuse de moi.
    
    — Viens avec moi, cela fera plaisir à ...
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