La punition.
Datte: 25/03/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Renifleur, Source: Hds
... une dizaine de claque, et je stoppe, à bout de souffle.
-Eh bien mon salaud, tu m’as bien puni là ! Lâche-t-elle en se tenant face de moi, la robe retroussée jusqu’à sa ceinture, exposant son ventre.
Ne pouvant me contenir à la tentation de poser ma main, je me mets à masser lentement le ventre, joue avec les fines boucles de la toison que j’entortille autour de mes doigts. Je flatte le haut des cuisses, là où la peau est la plus sensible. J’éprouve une sensation de chaud dans mon bas-ventre. Je bande.
Mes doigts fureteurs poursuivent leur chemin. S’arrêtant un moment à la commissure des lèvres, à la courbure du clitoris autour duquel ils tournent. Frictionnent les nymphes humides. Je les fais pénétrer même dans la fente. Faisant disparaître l’index, majeur et annulaire dans son antre. Stimulé par cette pénétration Françoise susurre des mots crus qui me fouaillent le cerveau.
-J’aime ça putain ! J’aime me faire branler… oui…oh ouiiiiii… continu à tripoter ma chatte…
Tout en se faisant tripatouiller, elle se désape. C’est totalement nu, qu’elle s’installe sur mes genoux. Je caresse ses seins arrogants, frotte les mamelons de mes paumes, pince les pointes entre l’index et le pouce. Pendant ce temps-là, Françoise se trémousse et geint. Je penche ma tête et j’aspire alternativement l’un et l’aute téton. Les suçant, et les mordillant. De nouveau ma main glisse jusqu’à son sexe. Elle se cramponne à moi et halète sous ma caresse, la bouche ouverte, les yeux clos. ...
... Elle écarte autant qu’elle peut le compas de ses jambes. Je glisse un doigt en elle, la branle avec une lenteur calculée. De l’autre, je poursuis l’exploration du conduit sexuel. J’en éprouve la bonté veloutée, l’élasticité exquise, je poursuis impitoyablement le jeu sensuel et affolant, pour l’amener au paroxysme du désir. Ce qu’elle ne met pas longtemps à atteindre.
-Putain que c’était bon ! Me lâche-t-elle.
Après un court moment de silence, elle laisse tomber :
-A ton tour de jouir !
Elle appuie son dos sur le bureau. Elle se laisse aller en arrière. Les épaules reposant sur le plateau de bois. Je plonge de nouveau mes doigts dans son sexe, pour en ressortir trempés.
-Qu’est-ce que tu fais ?
-Ça ne se voit pas ! Alors qu’avec l’autre main je saisis le bouton, le pince et le tiraille. Françoise me dévore des yeux. Elle a un visage crispé aux yeux mi-clos, à la bouche entrouverte, sur les seins palpitants et le bassin agité de soubresauts.
-Tu fais ça bien ! Fait-elle avant d’ajouter. Je savais que tu savais y faire.
Elle gémit. Je cesse brusquement de la branler. Elle pousse un cri de désappointement :
-Oh… non… !
Je reste immobile, avant de glisser mes mains sous les belles fesses et la fais basculer sur le bureau, le cul au ras du bord. Elle jubile, les jambes écartées, comme si elle mendiait d’autres caresses ou attendait le désert.
J’ôte alors mon pantalon. Je me débarrasse de mon slip. Les yeux m-clos, Françoise risque un regard vers moi. ...