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Nouvel Horizon Ch. 03
Datte: 24/03/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... sans doute trop de contraintes! Grosse galère pour remplacer le serre taille par le corset, la sensation agréable de ce dernier laisse place à une contrainte terrible du corset lorsque le vendeur montre à Claire comment serrer au mieux. J'ai le souffle coupé. Claire semble apprécié et l'effet sur les robes est immédiat. Elle décide d'en prendre plusieurs. C'est moi qui régale de toute façon! Pour les seins, j'entends avec soulagement Maîtresse décliner la proposition d'une paire de faux seins en silicone. Pas pour longtemps, je me fige quand je l'entends dire que je serais sans doute bientôt opérée! Je préfère faire comme si je n'avais rien entendu. Nous repartons avec une véritable valise que le vendeur nous a prêtée et que je devrais ramener. Il aurait bien aimé m'enculer contre une plus grosse remise, mais Maîtresse n'a pas pris ma clé, et mon cul est dilaté par le gode comme à chaque instant maintenant. Je porte le corset toujours aussi serré et les bas bien tendus, sur une robe patineuse et mes escarpins de 10 centimètres. Les hommes se retournent sur moi, cette fois-ci le regard n'est pas le même et le collier en acier est une incitation à faire de moi une vraie salope. Je n'ose croiser ...
... le moindre regard! Je suis anxieux de celui de Marie, je ne contrôle rien de ce qui m'arrive mais j'ai terriblement peur qu'elle ne me jette dégoutée par mon apparence. Je me regarde dans la glace, je ne ressemble plus en rien à ce que j'étais, cette image m'aurait sans doute excité, même si l'absence de seins m'aurait frustré : j'aime les très gros seins comme ceux de ma femme. Lorsque Maîtresse et moi rentrons de cette folle journée, ma femme est déjà rentrée et nous attend avec une flute de champagne à la main. Je vois ses yeux se dilater en me voyant et se remplir de larmes. Claire l'embrasse et leur baiser est fougueux tandis que j'attends inquiet et inutile. Marie me regarde à nouveau la main devant la bouche de surprise. Elle soulève ma courte robe pour regarder le cadenas qui a été posé, le soupèse, me fait tourner sur mes pieds, puis un peu marcher avec mes talons. Je suis confus. « Merci mon amour, tu es absolument sublime ainsi. Je suis sidérée de ta transformation, et comblée que tu veuilles bien te comporter comme Claire te demande pour mon plaisir. Tu me remplis de bonheur. Tu es parfaite ainsi. Parfaite, je ne peux plus te parler au masculin maintenant. Tu es tellement jolie. »