BELLE MAMAN
Datte: 23/03/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Claudy2316, Source: Hds
... parfois monsieur qui devait se régaler avec une femme si docile. J’imaginais aussi, les litres de foutre qu'elle avait du faire couler, car cette vision, mêlant pornographie, ambigüité et perversité, devait être un puisant stimuli pour les masturbations sous la douche au retour de la plage.
Il y avait aussi, chaque été, une vraie "famille Chouanne" Une tribu d'un autre âge, qui aurait fait passé les De Villiers pour des soixante huitards attardés .... . C'était un vrai cérémonial : L'ancêtre tout de lin blanc vêtu, panama sur la tête, arrivait, porté par deux jeunes de la famille: pantalons blancs, blazers bleus, foulards en soie. Ils l'installaient sur un fauteuil d'osier. Le reste de la famille débarquait ensuite: pantalons sports, chemisettes, pulls Lacoste jetés sur les épaules, robes strictes. Tout ce petit monde s'installait autour de l’aïeul, devant les allemands éberlués qui se grattaient les couilles à quelques mètres, les nymphettes qui s'enduisaient les seins et les fesses en les regardant ostensiblement et l'exhibitionniste qui multipliait les allers et retours à la mer, en passant chaque fois un peu plus près de l'ancêtre.
Je m'attendais à chaque fois voir une des aristos, vêtues de son strict maillot de bain noir une pièce, s'approcher de la dame et dire:- Madame, je vous en prie, Père ne supporte plus la vue de vos mamelles et de votre vulve, veuillez passer au loin, vous troublez sa méditation.
Je pense que le mari quand à lui, aurait bien vu sa ...
... femme pomper le patriarche, pendant que celui qu'on appelait Charles Henri, et qui semblait au vue de son faciès dégénéré et de ses tics, l'héritier naturel, la chevauchait hardiment en hurlant le cri de ralliement de la famille:- sus à la ribaude.
En ce qui nous concerne, après quelques jours d'hésitation, nous étions tout à fait à l'aise, même si Claudy, remettait son bas de maillot pour aller à l'eau. Quant à moi, ma seule hantise était de me mettre à bander en traversant la plage. Il faut dire que, surtout à marée basse, il fallait franchir un sacré étendu de sable avant de rejoindre l'eau. En outre beaucoup de femme ne se gênaient pas pour "allumer": Ecartant généreusement leurs cuisses pour se faire chatouiller le clitoris par le ressac (je suppose) ou balançant leurs gros seins en bondissant au dessus des vagues. Souvent, mon entrée dans l'eau était précipitée, négligeant tous conseils de prudence, pour éviter l'hypothermie, afin de mettre ma virilité à l'abri des regards.
Bander en nageant offre cependant quelques avantages: Sur le ventre, la queue tendue vers le fond, permet, telle la dérive d'un voilier, de se diriger facilement. Attention cependant aux hauts fonds caché, hérissés de coquilles d'huitres. Sur le dos, en faisant la planche, il suffirait d'adjoindre une petite voile pour se déplacer sans effort. Les vagues océanes, varient parfois de plus d'un mètre et ce que l'on voudrait cacher, apparait au grand jour. Je n'ai cependant jamais vu quelqu'un être ...