1. Femmes seules mais pas esseulées (1/5)


    Datte: 23/03/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... chamaillerie avec son épouse, menaçant de quitter le domicile conjugal. Muriel était habituée à ces discours victimaires. Mais il ne la quittait pas pour autant, son épouse, et elle le lui dit. Il alla se servir un verre de whisky, elle en accepta un aussi, et il vint s'asseoir à côté d'elle sur le canapé. Il ne pouvait pas manquer l'ouverture du peignoir découvrant l'essentiel d'un sein plantureux, ni des cuisses que la position assise découvrait largement. Il y mit une main caressante. Elle le repoussa sèchement. Il récidiva, toucha cette fois l'intérieur tendre de la cuisse, pas très loin du secteur stratégique. Elle le repoussa encore, il insista à nouveau mais il sentit que la résistance faiblissait. Muriel était trop sensuelle pour traiter longtemps par le mépris cette caresse qui, à tous les coups, l'avait fait flamber dans le passé. Il prit son verre, le posa sur la table avec le sien, se pencha sur elle et l'embrassa sur la bouche tout en progressant vers son entre-cuisses. Elle mollissait à vue d'oeil. Le peignoir s'ouvrit et la main habile de David parcourut le corps mur, soupesant les seins, pelotant le ventre et enfin toucha le sexe.
    
    C'était comme s'il avait appuyé sur le bouton déclencheur d'une fusée. Muriel se débarrassa en un clin d'oeil de son peignoir et vint chevaucher nue le trentenaire en le dévorant de sa bouche. "J'ai encore craqué" se dit-elle in petto. Puis elle dénoua la ceinture de son pantalon qu'elle tira en même temps que son boxer, ...
    ... dévoilant un pénis très tendu qu'elle goba instantanément pendant que David finissait de se déshabiller. Dans sa longue expérience, Muriel n'avait jamais vu une aussi belle queue, un vrai modèle de bande dessinée érotique. Sa langue la parcourut sur toute sa longueur, elle la fit aller loin au fond de sa gorge, sa phénoménale dureté la faisait tellement mouiller qu'elle sentit son liquide intime couler sur ses cuisses. Sans transition, elle s'empala, lui mettant ses gros nichons dans la figure et entreprit d'amples mouvements de bassin en s'aplatissant sur lui, profondément pénétrée.
    
    En l'instant présent, elle ne pensait plus à sa colère contre le frivole amant. Elle ne pensait plus qu'à son corps, son torse musclé et surtout sa bite, sa merveilleuse bite. Avec aisance, David la souleva en se relevant, la coucha sur la longueur du canapé et la laboura de toute sa longueur. Muriel était redevenu la mature sensuelle qui l'excitait tant, charnue, mouvante, rayonnante, volubile, insatiable. Il la tourna et la retourna pendant qu'elle accumulait les orgasmes, pétrissant sa lourde poitrine et ses hanches en amphore. Dans de courtes pauses, elle l'embrassait avec passion en le masturbant pour entretenir sa raideur. Elle voulut l'entrainer dans son lit pour l'apothéose. Mais il voulait lui donner du "vrai sexe" et il la porta à bout de bras jusqu'à la table de sa cuisine où elle s'étala, enthousiasmée par son initiative. Il la prit debout, s'enfonça virilement et profondément. Coudes sur ...
«1234...»