La petite chienne de Maîtresse P. 07 - Histoires de Sexe

La petite chienne de Maîtresse P. 07

Le reste de ma période « probatoire » se déroula sans autre surprise, dans une routine de tous les jours faite de 6 à 7 « services » à Maîtresse. La seule chose qui comptait était d'être précis au rendez-vous, de bien la lécher et/ou de la baiser, de lui donner ses orgasmes, d'être endurant (le cialis faisant vraiment merveille) avec l'occasion de me laisser jouir une à deux fois par jour (et bien sur de tout nettoyer). Maîtresse était très joueuse, parfois le deuxième orgasme m'était administré en me branlant. Elle m'a fait découvrir ce que l'on nomme les orgasmes « ruinés », s'arrêtant de me caresser juste avant que ma jouissance n'aboutisse et se moquant ainsi de moi, sans doute pour tester encore un peu plus mon endurance, mais après le troisième, en général elle me l'amenait jusqu'au bout, recueillant mon sperme dans son autre main et me le faisant lécher et avaler en totalité.

Finalement le dernier jour de ma période d'essai de 15 jours arriva le dimanche matin. Ce matin là pas de sexe. Nous prîmes le petit déjeuner comme si de rien n'était, puis Lady Irina me fit venir au salon.

-Voilà Michel, je suis extrêmement satisfaite de toi, tu me plais énormément et j'ai envie de te garder et bien sur beaucoup me servir de toi. J'aime ce que je vois déjà de ta tendance toute naturelle à la soumission. Mais il a y plein de choses que tu ne connais pas de moi. Comme tu l'imagines bien, j'ai des origines russes, mon accent ne peut le cacher. J'ai divorcé d'un oligarque ...

... russe extrêmement riche, ce qui m'a laissé une petite fortune qui me permet de vivre dans une certaine opulence et de profiter de l'existence sans devoir gagner ma vie et de me payer un petit chien comme toi, à supposer que nous continuions ensemble. J'imagine que tu t'en ai rendu compte.

-Oui, bien sur Maîtresse.

J'avais vu que la maison était très belle, grande, aménagée et meublée avec goût. C'était un de ces manoirs classique, un peu carré, sur deux étages, avec de hautes fenêtres, un escalier menant à un rez-de-chaussée surélevé. Il devait bien comporter une dizaine de pièces ainsi qu'un sous-sol aménagé « spécialement » que j'avais découvert. Le personnel (Judith la gouvernante et Julien le chauffeur et homme à tout faire), était logés dans une dépendance. Le manoir était entouré d'un magnifique grand parc, avec un chemin menant au portail. Je me disais que sa fortune ne devait pas se compter en millions, mais plutôt en dizaine de millions.

-Je suis aussi nymphomane, je n'y peux rien c'est ainsi, j'ai besoin de mes orgasmes multiples chaque jour, sinon je me sens mal et insatisfaite et tu es pour moi le parfait instrument pour satisfaire et calmer mes ardeurs permanentes. Depuis que tu me baises, c'est à chaque fois tellement fort que ça réduit mes besoins. Sentir ta belle queue dure chaude et habile qui me laboure mes intérieurs et m'amène au 7ème ciel est quelque chose de tellement fort que je n'ai plus envie de m'en passer. Tu dis maintenant avoir compris que je ...