Le réveil d'un autiste, Tatiana 1 - Histoires de Sexe

Le réveil d'un autiste, Tatiana 1

... monde et quand je rouvre les yeux, je constate affolée et pour la deuxième fois la croissance exponentielle de son engin. Dans les secondes qui suivent, je vois sa large verge progresser en direction de mon visage. Les centimètres de ce gros sexe qui ne s’arrête pas de grandir provoquent un léger mouvement d’émoi chez moi. La verge de Narcisse arrête sa course à quelques centimètres seulement de mon visage, entourée à sa base de deux gros testicules tout aussi imposants.

Je garde le temps de quelques secondes la bouche en « O », choquée et surprise par l’imposante taille de ce membre presque filial si proche de mon visage.

L’énorme phallus en pleine érection qui pointe dans ma direction a repris cette forme si caractéristique, comme celle d'un sabre de cosaque. Combien mesure-t-il ? Je ne le sais pas. Je n'ai pas le compas dans l’œil, mais elle doit bien faire cinq centimètres de plus que celle d’Hervé. Mais ce qui m'effraie le plus, c'est le diamètre aux dimensions hors-norme de ce mandrin qui dégage énormément de puissance.

Comment peut-on faire rentrer un tel cylindre entre ses cuisses ? Ma chatte n’y résisterait pas.

Mais à quoi je pense ? Je suis en manque de sexe mais pas à ce point-là… enfin c'est ce que je croyais. Stimulée par une telle vue, j'avance mon bras droit et commence à promener le bout de mes doigts sur toute la longueur de cette énorme virgule. Ma caresse est légère mais ...

... je ressens avec excitation la douceur de cette longue trique qui pulse sous mes doigts. Après quelques allers-retours, j'ose enfin refermer ma main autour du phallus de mon bébé. Je suis une mauvaise mère bien qu’il ne soit pas vraiment mon fils en faisant cela mais je ne peux m’empêcher de commencer à le masturber. Je me rends alors encore plus compte de l’imposante épaisseur de ce membre puisque mon pouce et mon index n’arrivent pas à se toucher, il manque plusieurs centimètres. Je prends aussi conscience que ma main couvre à peine le tiers de la longueur de ce sexe exceptionnel. J’en mouille la table de massage.

Je commence un léger mouvement de va et vient sur cette verge brûlante qui réchauffe ma main et la peau souple et fine de ce membre me permet de ressentir la dureté de l’acier de son chibre. Je garde un rythme lent et doux, ressentant par la même occasion toute la puissance que dégage cet étonnant pénis courbe. Je mouille terriblement, excitée par la situation. Je l’entends me demander comme une supplique entre deux gémissements.

-Touche mes boules, oui continue, c’est comme dans un rêve.

Satisfaite autant qu’effondrée de constater que l’excitation de Narcisse est encore montée d’un cran, je continue mon petit jeu de caresses en y adjoignant ma seconde main qui n’est évidemment pas de trop sur un tel pal.

- Oh oui « maman », encore ! grogne-t-il entre ses dents.

A suivre : Tatiana