Aurélie 3
Datte: 11/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
... Cybèle, et de l’autre, propriété de maîtresse Véronique.
Lorsque la femme lui remit les deux médailles, Véronique lui demanda de resserrer le corset, que je dus garder sous ma cape et je portai les paquets en partant. Ma respiration devint vite difficile, mais ma maîtresse n’en tint pas compte. Je dus porter les paquets jusqu’à la voiture et monter une nouvelle fois à l’arrière.
A peine de retour à la maison, ma maîtresse me fixa un collier et y attacha une médaille. Puis ce fut au tour de mes poignets et de mes chevilles de recevoir des bracelets.
- Tu porteras ce harnachement en permanence. Ce sera ton seul vêtement lorsque tu seras à la maison, sauf exception, compris ?
- Oui maîtresse.
- Vas me préparer à déjeuner. Après, nous ressortirons. J’ai encore des courses à faire.
- Bien maîtresse.
Je me rendis donc à la cuisine et préparai un repas léger. Après avoir servi ma maîtresse, je me mis à genoux près d’elle. Elle mangea lentement. A la fin du repas, elle me dit :
- Je trouve que la chambre d’amis est trop bien pour toi. Il va falloir trouver un autre endroit. Tiens, que dis-tu du débarras ?
Ce débarras était un placard de trois mètres sur deux, situé au fond de l’appartement. Chichement éclairé par un vasistas placé trop haut, il servait à mettre tout ce qui gênait ailleurs. Nous n’y pénétrions quasiment jamais. Et cela allait devenir ma chambre, puisque Véronique l’avait décidé.
- Tu ne dis rien, souillon ?
- Comme il vous plaira, ...
... maîtresse.
- Bien sûr, il faudra l’aménager un peu, faire du ménage, mais je pense que tu seras là à ta place.
- Bien maîtresse.
- C’est dit. Pendant que j’irai faire le reste des courses, tu videras cet endroit. Il deviendra ta chambre.
- Bien maîtresse.
Il me fallut toute l’après-midi pour évacuer les affaires. Comme me l’avait ordonné ma maîtresse, je dû descendre les affaires à la cave, harnachée. Par miracle, personne ne prit l’ascenseur en même temps que moi. J’eus fini le travail vers dix-sept heures. Je me mis en position dans le couloir en attendant Véronique. Elle arriva une heure plus tard.
- Ah, tu es là, souillon. Je pose ces achats et nous allons descendre au garage. Il y a encore plein de choses dans la voiture à remonter.
- Bien maîtresse.
Une fois de plus, je descendis au garage avec ma maîtresse. Deux femmes, que je connaissais de vue prirent l’ascenseur avec nous. Par un réflexe de pudeur, je ramenai mes mains devant mon pubis, geste qui me valut une gifle de la part de Véronique. Je ramenai mes mains dans le dos, sous l’œil goguenard d’une de femmes et le regard gêné de l’autre.
Il nous fallut trois voyage pour tout remonter. Il y avait là, un lit à barreaux, de soixante-dix centimètres de large, avec son matelas, deux couvertures, mais pas de drap, une armoire de petite largeur qui lui permettait de loger à l’entrée, une chaise. Monter le lit et l’armoire ne fut pas trop difficile et j’eus terminé vers dix-huit heures trente. ...