Aurélie 3
Datte: 11/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
... culotte, que je fis glisser sur ses hanches, non sans caresser cette peau si douce.
Nue, elle se dirigea vers la salle de bain. Je ne pouvais détacher mes yeux de sa croupe qui ondulait devant moi. J’aurai aimé que cela dure des heures. Hélas, elle entra sous la douche, se mouilla et je pris l’éponge pour la frotter. Je m’attardai sur ses courbes délicieuses et je l’entendis soupirer d’aise. Lorsque je commençais à lui écarter les jambes pour lui laver le sexe, elle refusa.
- Tu feras cela avec ta langue, puisque tu aimes tant cela.
- Bien maîtresse.
Lorsque j’eus finit de la laver et de la sécher, elle appuya son pied sur la baignoire et me demanda de la lécher. Je ne me fis pas prier et je plongeais dans sa chatte. Elle ne mit pas longtemps à gémir. Je sentais sa mouille me couler dans la bouche et ses ondulations révélaient son excitation. Elle ne tarda pas à jouir avec un feulement de tigresse, en plaquant ma bouche contre son pubis. Elle se calma un instant, puis, avec un sourire sadique, me lança :
- Après le côté face, le côté pile, souillon.
Je restais un moment interloquée, me demandant ce qu’elle voulait dire. Lorsqu’elle se pencha en avant en écartant ses fesses des deux mains, je compris ce qu’elle voulait. J’insinuais ma langue entre ses deux globes et léchais la raie des fesses. Puis je titillais du bout de la langue son anus. Une nouvelle fois, elle soupira d’aise. Je dus la lécher pendant une bonne dizaine de minutes avant qu’elle ne ...
... décide que cela suffisait.
- Relève-toi, m’intimât-elle.
Lorsque je me relevais, elle glissa un doigt dans mon vagin. Elle n’eut aucun mal à se rendre compte de mon excitation.
- Ça te fait de l’effet de me lécher le cul, souillon ?
- Oui maîtresse.
- Tu as envie de jouir ?
- Oui maîtresse.
- Il n’en est pas question. Tu n’es qu’une salope qui a toujours le feu au cul.
- Oui maîtresse.
- Viens m’aider à passer ma chemise de nuit. Cette nuit, tu dormiras dans ma chambre, mais pas dans le lit. Sur la moquette, à côté. Et pour ne pas que tu te masturbes, je vais t’attacher les mains.
Elle sortit une paire de bas de la commode et me fit mettre les mains dans le dos. Je fus bientôt incapable de bouger les poignets. Elle me fit ensuite étendre sur le tapis à côté d’elle et lia mes chevilles de la même façon. Avec un troisième bas, elle relia les deux liens, m’obligeant à me cambrer au maximum en arrière. La position était particulièrement difficile, voire douloureuse. Pour terminer, ma maîtresse me fourra une culotte dans la bouche et me bâillonna avec un quatrième bas.
- Comme cela, je suis sûre que tu ne te branleras pas cette nuit, et que tu ne m’empêcheras pas de dormir. Bonne nuit, souillon.
Et elle éteignit la lumière. J’entendis bientôt le souffle régulier de son sommeil. Moi, je ne pouvais dormir. La position qu’elle m’avait imposée devint bientôt une véritable torture. Tous mes muscles s’ankylosaient les uns après les autres. La culotte ...