Le vrai visage de Madame Clémence
Datte: 11/07/2019,
Catégories:
hépilé,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
contrainte,
rasage,
hdanus,
hgode,
sm,
attache,
fouetfesse,
hsoumisaf,
Auteur: Monsieur P, Source: Revebebe
Depuis plusieurs semaines, ma compagne, que j’appelais affectueusement ma douce, me reprochait de ne pas être assez attentif à son bonheur et à son plaisir. C’était devenu son sujet de grief quotidien, je n’étais jamais assez affectueux avec elle. Amoureux fou, j’écoutais ses remontrances avec bienveillance en lui demandant à chaque fois ce qu’elle désirait, mais elle n’arrivait jamais à me dire exactement ce qui ne lui plaisait pas. Un soir que je rentrais d’une journée de travail particulièrement éprouvante, elle me lança :
— J’en ai parlé à Carole (sa meilleure amie), elle connaît une dame qui est spécialisée dans notre problème : apprendre aux garçons à être plus appliqués avec leurs amies. Tu pourrais la rencontrer.
Je n’avais vraiment pas envie ce soir-là de me disputer avec ma douce, et lui proposai d’en reparler une autre fois. Bizarrement, elle ne revint pas à la charge et se montra assez tendre ; nous avons passé une soirée des plus agréables comme jamais depuis longtemps.
Quelques jours plus tard, alors que je rentrais du travail, je la trouvai en grande conversation avec une inconnue.
— Je te présente Madame Clémence, l’amie de Carole dont je t’ai déjà parlé.
C’était une charmante femme très agréable à contempler, et qui avait beaucoup de classe. La conversation tourna vite au sujet qui tenait à cœur à ma douce. Très persuasive, et aidée par ma tendre, la dame me convainquit de venir passer un week-end chez elle pour aider notre couple. Puisque ma ...
... douce était d’accord, et à l’idée de passer quelques jours agréables en compagnie de cette femme désirable, je ne mis pas longtemps à donner mon accord. Comme le week-end suivant nous n’avions rien prévu, il fut convenu que j’irais chez Madame Clémence le vendredi soir à 22 heures.
Ce jour arriva rapidement. À peine arrivé dans sa maison elle me mit immédiatement dans le bain, sur un ton qui tranchait franchement avec la douceur dont elle avait fait preuve lors de notre première et unique rencontre.
— Tu es venu de ton plein gré, alors je vais t’apprendre à donner du plaisir et surtout à obéir. Ici c’est chez moi, je commande et tu as juste à obéir. Si tu es sage, il y a ça pour toi, dit-elle en me montrant une main attirante. Mais si tu ne comprends pas assez vite, elle sera à ton service, m’avertit-elle en me montrant une cravache, comme celles dont se servent les cavaliers avec leurs chevaux. Dimanche, je te marquerai de mes initiales pour que tu te souviennes bien de mes conseils. Si je suis contente de toi, tu ne souffriras pas. Par contre, si tu me déçois, tu n’auras ni anesthésie locale, ni onguent pour calmer ta douleur, à toi de choisir !
J’avais l’impression d’être dans un autre monde.
— Pour commencer, les hommes qui viennent ici vivent nus, alors dépêche-toi de te dénuder.
Comme je tardais à me décider, un premier coup de cravache vint me rappeler ses promesses. En moins d’une minute, je fus entièrement nu devant elle, mes mains cachant mon intimité. ...