Bourgeoises Rééduquées : Partie 10
Datte: 19/03/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byVerdu, Source: Literotica
... remplie des deux côtés est incroyable. Je ne résiste plus et je me laisse aller.
Je jouis en criant comme jamais je ne le fais et je m'effondre sur Monsieur Didier épuisée. Ils continuent de me baiser en rythme me faisant jouir à nouveau trois ou quatre fois.
Ils finissent par jouir en moi. Inerte, je reprends mon souffle, je sais plus où j'en suis. Il me faut du temps pour récupérer. Mais, quand ils me demandent de les nettoyer, je tombe à genou devant et les lèchent tour à tour, même le sexe d'Alain qui sort de mon cul, ne me dégoute pas.
A leur demande, je me rends dans la cuisine pour leur préparer de quoi manger. Mon corps est un mélange de douleur et de plaisirs, j'en tremble encore.
Soudain alors que je prépare les sandwichs, Alain vient dans mon dos et sans rien dire, il me pénètre et me tenant par les seins il me baise sauvagement. Je suis à nouveau submergée par un orgasme. Et je dois me cramponner pour ne pas m'effondrer.
Alain me demande de le nettoyer à nouveau, je lui obéis avant de retourner à leurs sandwichs.
Quand je les leur apporte, je les entends discuter. Je reste debout, attendant ce qu'ils vont me demander. Je suis presque surprise d'entendre Monsieur Didier me dire :
— Suce-nous!
Sans un mot, je m'agenouille et m'applique sur leur queue. Une nouvelle fois je les reçois dans ma bouche et avale leur sperme.
Quand ils sont prêts à partir, alors que je suis toujours nue, Monsieur Didier sort un collier de sa poche avec une ...
... inscription, la même que celle du message qu'il avait envoyé avec la photo : "S : Salope, suceuse, soumise".
Je baisse la tête sans un mot, malgré la colère qui est en moi.
Dès leur départ, je me précipite dans la salle de bain pour prendre un long bain chaud pour me laver. Je me sens sale, souillée. Je ne veux plus continuer mais cela a été plus fort que moi. Je n'ai pas pu résister.
Dans la baignoire, sous l'eau je glisse une main entre mes cuisses et je me fais jouir une nouvelle fois.
Ce sont les pleurs de Baptiste qui réclame sa tétée qui me sortent de ma léthargie.
Le soir, à la surprise de Pierre-Henri, je me change dans la salle de bain et vient dans le lit en pyjama. Je me refuse à lui en prétextant une migraine. Les marques de ceinture sont encore bien visibles.
Ce mercredi matin, je suis au presbytère pour le catéchisme des enfants. A mon arrivée, le père Sylvain m'a dit qu'il souhaitait me voir après la séance pour un petit problème de secrétariat.
Quand j'arrive dans son bureau, je suis horrifiée. Monsieur Didier est là, debout à côté de lui.
— Bonjour, suceuse... Où est le cadeau que je t'ai fait hier?
—L..... Là! Monsieur Didier, dis-je en sortant précipitamment le collier gravé de mon sac à main.
— Pourquoi n'est-il pas autour de ton cou?
— Je ne pensais pas vous voir, Monsieur Didier.
Paniquée, tremblante je me dépêche de le mettre. Dans ma panique, j'ai du mal avec le fermoir mais je finis par l'attacher. Monsieur Didier ...