Bourgeoises Rééduquées : Partie 10
Datte: 19/03/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byVerdu, Source: Literotica
... miroir ce jeudi matin, j'ai des valises sous les yeux. J'ai du mal à les cacher.
Quand je sors avec les enfants, ce matin, Albert me remet une enveloppe. Monsieur Didier ne m'a pas oubliée. Je la glisse dans mon sac à main, je l'ouvrirai au bureau, je veux profiter de cet instant tranquille.
Je lis : "Je t'attends à 18h45!".
Je suis toute excitée. J'envoie un message à Natacha pour lui dire que je ne pourrais pas venir à la salle ce soir. Sa réponse ne tarde pas. Elle aussi sera occupée, elle vient de s'apercevoir qu'elle a un rendez-vous qu'elle ne peut pas reporter.
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Natacha :
C'est décidé, il est hors de question que cette histoire avec Didier et Alain continue. Je suis dans cet état d'esprit quand je rentre de l'école après y avoir déposé les enfants. Arrivée devant la porte de mon immeuble, j'entends une voix derrière moi :
— Bonjour petite salope!
Je me retourne surprise d'être interpellée de la sorte. Je vois Didier et Alain derrière moi, ils me sourient vicieusement, je suis affolée. Mais quand Didier me dit de les inviter et de dire au père Sylvain que je ne pourrai pas venir au presbytère car Baptiste est malade, je lui obéis et je les fais entrer chez moi.
Ce n'est pas grave, c'est très bien qu'ils soient là, tous les deux. Je n'aurais à dire qu'une seule fois que je ne veux plus continuer. Je couche Baptiste et décidée, je retourne au salon pour les affronter.
— Écoutez-moi s'il vous plaît, tout ce qui s'est passé n'aurait ...
... pas dû se produire. J'aime mon mari et je n'aurai jamais dû le tromper.
Je m'arrête quelques secondes en voyant leurs regards se figer. Puis, je reprends.
— Euhhh... Je vous remercie... J'ai apprécié l'attention que vous m'avez porté... Mais je ne peux pas continuer...
— C'est vraiment ce que tu veux? Tu as oublié notre discussion? Il faut que je te remontre les photos que tu nous as envoyées? Je parierais ma fortune sur une chose : Je suis sûr que depuis que tu nous as vus ce matin tu mouilles, ce n'est pas vrai? me dit Monsieur Didier
Je ne dis rien, je suis déstabilisée. Ce regard ferme, ce ton autoritaire m'excite, il a raison
— Voilà ce que l'on va faire. Soit tu nous dis de sortir tout de suite, soit tu te déshabilles!
Il me faut quelques minutes pour prendre ma décision. J'hésite. Si je me mets nue, dans quoi vais-je m'engager? Mais si je leur dis de sortir, vais-je supporter de retrouver ma petite vie tranquille et morne de femme mariée, mère de famille?
Je prends ma décision. Je retire mes chaussures puis mon pull et mon pantalon. Je les regarde. Ils restent silencieux. Je dégrafe mon soutien-gorge que je laisse tomber sur les autres vêtements avant de retirer ma culotte. Dans un dernier sursaut de pudeur, je me couvre les seins et le bas-ventre.
— Mains sur la tête! Jambes écartées! Tête haute! Ordonne Monsieur Didier.
En retenant mes larmes, je prends la position exigée, pendant que Monsieur Didier reprend.
— Tu as fait le bon choix, ...