1. Dans Le Métro


    Datte: 11/07/2019, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: byTheFrenchGuy, Source: Literotica

    ... son corps, écrasant ses seins toujours plus durs. Mon sexe palpite entre ses cuisses mais elle ne semble pas s’en émouvoir. Elle me serre contre elle et me murmure à l’oreille :
    
    "Merci...merci...je t’aime..."
    
    Je ne sais que lui répondre. Son parfum, la douceur de sa peau, tout en elle me chavire. Je voudrais plonger en elle, me fondre en elle, mais elle reste immobile. Je l’embrasse fougueusement, à pleine bouche. Elle me répond mais ne s’ouvre pas plus.
    
    "J’ai envie de toi," lui dis-je.
    
    "Je sais," répond-elle en souriant.
    
    "Pas toi?
    
    "Je suis vierge."
    
    Devant mon air perplexe, elle ajoute :
    
    "Je me garde pour celui qui partagera ma vie. Et je ne sais encore rien de toi."
    
    Mon désir défaille. Je reste là, interloqué, pendant qu’elle se dégage de mon étreinte. Puis, me surprenant encore, elle se retourne et me présente ses fesses.
    
    "Lèche-moi."
    
    Voyant mon hésitation, elle prend ses fesses à pleines mains et les écarte, dévoilant son sexe luisant et son anus rasé. Hypnotisé, je m’exécute, puisant à sa source pour lubrifier son cul. J’y plonge ma langue, toujours plus profondément à mesure que celui-ci s’ouvre.
    
    "Plus loin," réclame-t-elle.
    
    Ma bouche abandonne son anus pour lécher sa vulve, qu’un doigt vient aussitôt remplacer. A peine humecté, je l’enfonce lentement, en prenant soin de presser les parois pour élargir le passage. Elle est toujours immobile, la tête dans l’oreiller, mais je sens ses sphincters qui pressent mon doigt à le broyer. ...
    ... Une fois celui-ci enfoncé, elle demande à nouveau :
    
    "Ouvre-moi, ouvre-moi bien."
    
    Alors, méthodiquement, j’entame un va-et-vient, de haut en bas, de gauche à droite, j’explore, ne délaissant aucun recoin de son cul. Et quand elle estime être prête :
    
    "Viens. Prends-moi maintenant."
    
    C’est alors que je réalise que je n’ai pas de préservatifs. Mais une fois encore, elle me surprend.
    
    "Sur la table...là."
    
    Comme par magie, une boite est là, qui attend. Elle s’en empare, en sort un préservatif qu’elle ajuste avec douceur sur ma verge, la gratifiant au passage d’une caresse approbatrice. Puis, elle reprend la pose, levant haut son derrière, les fesses écartelées.
    
    Je promène mon sexe le long de ses lèvres humides, puis je pose mon gland à l’entrée de son cul. Je pousse et elle vient à ma rencontre. Je glisse en elle sans effort et nous poussons tous deux un soupir de contentement.
    
    "Baise-moi, s’il te plait, baise-moi."
    
    Je perds tout contrôle. J’attrape ses hanches et me lance dans un mouvement effréné, poussant mon sexe dans son cul, tirant son ventre à moi. Je la pourfends sans retenue, sans entendre ses cris. Car elle crie à présent. Elle qui ne laissait rien paraître de son plaisir ne se retient plus. Une plainte ininterrompue, entrecoupée de « oui », « encore », « plus fort », qui m’excitent encore plus. Puis, ses cris changent, plus hauts, plus courts et son cul me serre à tel point que c’en est presque douloureux.
    
    "Continue," crie-t-elle dans son ...
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