La boîte de Pandore
Datte: 16/03/2024,
Catégories:
fh,
copains,
collection,
amour,
hsoumis,
fdomine,
pied,
caresses,
Oral
jeu,
sm,
journal,
confession,
couple,
jeux,
Auteur: L'artiste, Source: Revebebe
... notable de leur relation… jusqu’à ce fameux samedi, jour du lâcher-prise et de tous les excès.
Thom l’attendait. Elle devait venir le chercher pour dans un premier temps manger dans un bar d’ambiance du centre-ville, puis pour se rendre en discothèque, comme souvent en fin de semaine.
L’heure tournait, la belle tardait, ce qui ne lui ressemblait pas. Lui ne tenait pas en place, regardant à maintes reprises sa montre, s’impatientant, lorsqu’enfin il entendit du bruit dans le couloir. Effectivement, la sonnette retentit, et Thom se précipita vers le perroquet qui jouxtait le seuil de son domicile, afin de récupérer sa veste en hélant distinctement :
— Ce n’est pas verrouillé, entre !
La porte s’ouvrit alors, et là, ce fut un choc. Thom resta sans voix, ébahi, totalement coi. Ses jambes se mirent à flageoler et une goutte de sueur perla à son front tandis qu’il observait Charline qui retirait son long manteau lui tombant à mi-cuisses, pour le déposer sur le dossier du canapé. L’air amusé par l’effet provoqué, elle rompit le silence qui s’était installé, sortant Thom de sa stupéfaction.
— Coucou, mon Doudou ! Es-tu prêt ?
Thom resta figé devant une Charline métamorphosée. Son amie, habituellement si douce et fragile, lui parut autre. Vêtue d’un legging en cuir, de bottes qui montaient presque jusqu’aux genoux de matière identique et d’un corset bordeaux aux fines broderies noires, son apparence singulière ne laissait aucun doute quant à ses intentions. Pris ...
... d’une angoisse irrépressible, il ne sut que répondre à la question posée, mais en comprit bien évidemment le sous-entendu… Charline enchaîna donc :
— Mon Doudou, il faut qu’on parle !
Que dire ? Rongé par les remords, et la honte, il avait même souhaité quelquefois voir son projet avorter. Voilà que ce moment qu’il avait tant redouté, et pourtant attendu sans véritablement y croire se concrétisait… N’en menant pas large, il resta bouche bée.
— Est-ce le sobriquet que je t’ai choisi qui t’intrigue ainsi ? Moi je le trouve plutôt mignon pour désigner le gentil toutou que tu es. Allez, mon Doudou, maintenant, à poil !
Comme par magie, Thom obtempéra et ôta dans un premier temps sa chemise, tandis que Charline, elle, s’installait sur le clic-clac qui meublait la chambre d’étudiant sans perdre une miette du spectacle proposé. Le peu de résistance de son ami la surprit et la déçut presque – tout semblait si facile –, mais elle ne put s’empêcher de sourire lorsqu’une nuée de papillons frétillèrent en son bas-ventre. Bien qu’elle s’apprêtât à découvrir pour la première fois le corps nu du jeune homme, l’effeuillage progressif de ce dernier ne s’avérait en rien responsable de l’émoi éprouvé… Non, le fait qu’il se soumette timidement tout en arborant une gêne sincère en était la source. La situation le mettait dans l’embarras et pourtant il obtempérait sans un mot, résigné et docile, affichant ainsi son intimité sur simple demande… L’apparente fragilité de cet homme sans ...