Le ciel au-dessus des nuages
Datte: 15/03/2024,
Catégories:
fh,
asie,
voyage,
avion,
amour,
cérébral,
caresses,
Oral
délire,
rencontre,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... combines qui me viennent à l’esprit avec une partenaire aussi légère.
Un coup d’œil à ma montre, encore quatre heures de vol… Et le pire dans cette affaire est que, pour la première fois depuis le décollage, j’ai véritablement besoin de dormir. De toute façon, Français ou pas Français, faut pas qu’elle s’imagine que je vais lui retapisser son petit intérieur toutes les cinq minutes…
— On dort ?
— Bonne idée… Vous m’avez tuée.
La suite du voyage se déroule un peu plus classiquement, tous les deux enroulés dans la même couverture et sa tête posée sur mon épaule… Par contre, aussitôt le pied posé sur le plancher des vaches, je m’empresse de téléphoner à mon pote pour lui expliquer que j’ai une urgence absolument urgente, qu’elle est à la fois chinoise et ravissante, et que l’on ne se retrouvera que dans le hall d’embarquement, aux alentours de 21 h si je ne m’abuse.
Parce que, vous vous en doutez, Chen-Li et moi avons effectivement une urgence de taille… La baise en avion, cela a un côté indiscutablement excitant, mais ça laisse passablement sur sa faim !
Le premier hôtel est le bon et, comment dire…, nous sommes tous deux dans un tel état que, même si je viens d’ouvrir la porte de la chambre, c’est quand même dans le couloir et à même les valises qu’a lieu notre premier assaut, où je me rends accessoirement compte qu’elle a dû oublier sa culotte dans le vide-poches dans l’avion et que celui ou celle qui nettoiera risque d’avoir une surprise. Quoi qu’il en ...
... soit, pas de raffinement, pas de chichi, c’est tout simplement à une baise bestiale à laquelle nous nous livrons sans nous préoccuper un seul instant d’être surpris en pleine action ! Mais comme il se trouve qu’à cet instant précis, aucun de nous deux n’en a quelque chose à faire…
Le deuxième assaut se fait de façon un petit peu plus classique, lorsque je la projette sur le lit, la jupe retroussée jusqu’au nombril. Mon regard ne s’attarde que quelques instants sur cette petite touffe aussi touffue que noire, surplombant un adorable abricot aux lèvres délicieusement closes dans lequel je plonge ma langue. Cette fois, j’ai envie de lui en donner pour son argent et peut-être même de lui permettre de vérifier qu’effectivement, les Français sont de bons amants… Bon, avec moi, c’est pas gagné, mais ne dit-on pas qu’il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre ? Quoi qu’il en soit, à force de lui tire-bouchonner le bitoniau de la langue et de mes doigts tout en lui faisant deux doigts de cour, je parviens enfin à lui offrir ce véritable orgasme que je rêvais de lui donner depuis le début de cette aventure. Elle couine longuement, les dents serrées et des ongles plantés dans mes cheveux, jusqu’à ce qu’elle reprenne conscience… Et aussi jusqu’à ce que nous nous apercevions que nos valoches sont toujours dans le couloir !
Juste le temps de ré-enfiler un froc pour les rentrer, et le cirque recommence ! Cette fois, petite visite de l’entresol dans la position de la cuillère, ...