1. COLLECTION BOURGEOISE. Jusqu’à tourner dans des pornos (1/1)


    Datte: 14/03/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    • Bon anniversaire ma chérie.
    
    • Merci, mais j’espère que comme je te l’ai demandé, tu t’es contenté de ces mots de « bon anniversaire » surtout pour mes soixante ans.
    
    C’est à ce moment que la sonnette de notre pavillon dans la banlieue parisienne nous indique que quelqu’un vient nous voir.
    
    Christopher va ouvrir.
    
    • Je suis bien chez Clémentine, tu es Christopher, je suis le cadeau d’anniversaire.
    
    De la salle où je suis restée, j’entends ces mots très interrogatifs.
    
    Pourquoi dire, « je suis le cadeau d’anniversaire » ?
    
    J’aurais entendu « je livre le cadeau d’anniversaire, » j’aurais pu comprendre qu’un coursier livrait le bouquet de roses que Christopher avait prévu, comme il le fait tous les ans, avant de m’amener au restaurant.
    
    Si je refuse les cadeaux, j’aime les fleurs et un bouquet j’accepterais, même s’il me fait livrer soixante roses rouges, celles que je préfère.
    
    Pour notre budget, soixante roses, c’est peut-être beaucoup pour certains, mais Christopher plus vieux de presque dix ans que moi, en retraite à 85 % de son dernier salaire assure largement.
    
    • Entrez, ma femme est au salon.
    
    Dans le même temps que j’entends ces mots, un homme entre précédant mon mari.
    
    • Voilà, ma chérie, je sais que tu refuses les cadeaux, mais à presque soixante-dix ans, j’ai de plus en plus de mal pour bander.
    
    Mon cœur m’empêche de prendre du viagra ou tout autre composé me permettant de bander et je souhaite que Léo, jeune hardeur t’apporte ce que je ...
    ... suis dans l’incapacité de te donner.
    
    J’avais vingt ans lorsque j’ai rencontré mon mari, il en avait dix de plus, mais à cet âge malgré la différence tout se passait bien.
    
    Je passais d’une vie familiale banale à une vie de bourgeoise des beaux quartiers.
    
    Christopher travaillait dans une banque et a fini à en devenir son responsable principal.
    
    Il est vrai que depuis quelque temps nos ardeurs sexuelles sont presque inexistantes, mais je me suis faite à cette situation comme de nombreuses femmes ayant perdu leur mari se trouve obligée d’apprendre à en être privé .
    
    Je dois reconnaître que de rares fois, sous la douche je me sers du jet pour déclencher un léger frisson au niveau de mon clitoris.
    
    J’aurais bien acheté un vibro-masseur comme Laëtitia ma copine me l’a suggéré, mais j’aime trop mon homme pour lui mettre devant son nez son incapacité à bander.
    
    • Bonsoir, belle Clémentine, j’ai de la chance d’être ton partenaire pour cette soirée, ton mari me gatte.
    
    • Léo, je crois avoir entendu !
    
    • Oui, belle enfant, c’est mon nom, je vais bander pour toi belle inconnue !
    
    Christopher s’assied dans son fauteuil alors que ce bellâtre vient se coller à moi.
    
    • Tu te fous de ma gueule, « belle enfant », « belle inconnue », j’ai soixante ans et mes seins commencent à tomber, chérie à quel jeu joues-tu ?
    
    • Laisse toi aller, sent la bosse dans mon pantalon, les femmes d’âge mur, ce sont celles que je préfère.
    
    Christopher à un sourire légèrement narquois, ...
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