Poursuite du fétishisme vinyle et kway - Histoires de Sexe

Poursuite du fétishisme vinyle et kway

... la moindre goute.

On pourrait croire que c’est deux collégiennes qui trottinent sous la pluie.

Je poursuis mon rôle de détective et je suis complètement trempé.

Je vois les filles rentrer dans un magasin kway.

Je me dis qu’elles n’ont pas assez avec leur imperméable.

Elles ressortent avec un paquet à la main.

Elle se dirige dans une petite rue, je les perds de vue.

Je cours pour les rattraper. Arrivé à l’angle de la rue, elles m’attendaient à l’entrée d’un porche.

Surpris par leur stratégie, elles se sont mises à rire en me tendant le paquet qu’elles venaient d’acheter.

Laurence « si tu dois nous suivre encore longtemps, au moins avec un kway tu seras au sec ».

Valérie « alors chéri, tu n’as pas confiance ? ».

Moi « Bien sûr que oui mais je pensais que vous deviez avoir un garde-corps au cas où car vous êtes toutes les deux magnifiques avec vos imperméables ».

Valérie ouvre son imperméable et là je la vois habillée seulement d’un soutien-gorge d’un porte jarretelles, de bas en vinyle noir et des chaussures à talons aiguilles brillantes.

Aussitôt Laurence ouvre son imperméable et je découvre qu’elle porte la même chose mais de couleur rouge et en vinyle aussi.

Elles s’approchent toutes deux de moi pour se frotter avec l’imperméable ouvert.

Je subis une sensation extraordinaire de voir les deux corps pour moi tout seul.

Laurence me dit de venir un peu plus loin à l’écart.

Je suis les deux filles dans le couloir.

Arrivé au ...

... fond, il y a une porte de descente de cave. Laurence descend, je lui emboite le pas et Valérie m’arrête pour m’embrasser. Elle ne me faisait jamais ça en dehors de la maison.

Arrivé en bas, Laurence me demande de me déshabiller.

Je retire mon blouson.

Après elle me dit « Non, pas que ça, fou toi à poil ! »

Je me retourne vers Valérie, très surpris de la demande.

Valérie « Vas y fait ce qu’elle te demande ».

J’exécute alors la demande, je me dis que je vais sans doute pouvoir les baisées toutes les deux.

Après avoir retiré la total, Laurence me tend le sac K-WAY et me dit « Vas y mets le pantalon et l’imper ».

Moi « Quoi ? mais, mais, c’est quoi ça ? »

Laurence « Tu vas découvrir le plaisir de mon mari, la sensation du tissu du k-way sur la peau et la pluie froide sur le tissu va te faire frissonner ».

J’exécute la demande mais en regardant Valérie, je hausse les épaules en laissant apparaitre mon étonnement.

Laurence nous propose donc de reprendre la balade en pleine rue sous la pluie.

Dès que nous rejoignons la rue, je me sens comme nue sous le tissu qui glisse à même la peau.

A tour de rôle, Valérie et Laurence, me passe une main au cul.

Des compliments me sont dit sur mon petit cul et la chaleur que je dégage.

Les filles en font exprès de me caresser et de me frôler avec leur imperméable pour que le tissu mouillé soit en contact permanent avec ma peau.

L’effet de leur manipulation me provoque une érection.

Heureusement ...